Des victimes ont été recensées dans l'attaque de missiles américains contre la Syrie.

Après que l'armée de l'air américaine a tiré une série de missiles sur une base aérienne du gouvernement syrien, le 7 avril, les responsables de la défense américaine ont annoncé qu'il n'y avait aucun plan spécifique d'escalade de l'action militaire dans ce pays du Moyen-Orient.

Un missile est lancé depuis un navire de guerre américain. (Source : Reuters/VNA)

L'agence de presse britannique Reuters a cité un responsable américain de la défense sous couvert d'anonymat, affirmant que l'attaque ne témoignait pas d'un changement de priorités du président Donald Trump. Plus précisément, au lieu de se concentrer sur les questions intérieures comme c'est le cas actuellement, la Maison Blanche accordera désormais davantage d'attention aux questions internationales.

Plus tôt, le président américain Donald Trump avait ordonné une frappe de missiles sur l'une des quatre bases aériennes du centre de la Syrie, en réponse à une attaque chimique à Idlib qui a tué des dizaines de civils dans ce pays du Moyen-Orient. Il s'agissait de la première attaque américaine directe contre les forces du président syrien Bachar el-Assad depuis le début de la guerre civile il y a six ans.

Lors du dernier développement, le 7 avril, le gouverneur de la province de Homs, Talal Barazi, a annoncé que l'attaque militaire américaine avait tué un certain nombre de personnes.

S'adressant à l'agence de presse AFP, M. Barazi a déclaré : « Il y a eu un certain nombre de soldats tués, mais nous n'avons pas encore déterminé le nombre précis. »

Plus tôt, le responsable avait déclaré que les frappes de missiles américains sur les zones militaires syriennes servaient les objectifs des « groupes terroristes armés » et de l'État islamique autoproclamé (EI).

Il estime également que l'attaque n'a pas causé de « pertes importantes ».

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