Le voleur d'un téléphone d'une valeur de 200 000 VND condamné à 87 mois de prison

October 23, 2017 21:35

Le défendeur a insisté sur son innocence, mais les deux tribunaux ont affirmé que l'accusation était fondée, même si les preuves n'avaient pas été récupérées.

Le 23 octobre, le tribunal populaire de Hanoi a ouvert une audience d'appel pour examiner l'appel de Le Tuan Anh (45 ans) qui a été reconnu coupable de vol par le tribunal populaire du district de Tay Ho et condamné à 8 ans de prison.

Après plus d'une heure de procès, le tribunal populaire de Hanoï a jugé la condamnation correcte, mais la peine infligée à Tuan Anh restait lourde. La cour d'appel a donc réduit la peine de neuf mois de prison à sept ans et trois mois.

Le verdict a établi que le matin du 7 novembre 2016, après avoir bu de l'alcool, Tuan Anh s'était rendu à pied de sa maison de la rue Thuy Khue à la rue Hang Giay pour acheter des hameçons. Passant devant le jardin fleuri de la rue Thuy Khue, il avait aperçu Nguyen Van Dong et son ami assis sur un banc de pierre en train de discuter. Il s'était alors approché d'eux, mais avait été repoussé.

Les autorités affirment que Tuan Anh a ramassé le téléphone de Dong sur un banc et a tenté de le lui confisquer. Lorsque Dong l'a supplié de le lui rendre, expliquant qu'il s'agissait d'un moyen de communication avec sa famille, Tuan Anh l'a ignoré et l'a même étranglé et menacé avec un couteau.

Dong et son ami n'ont pas osé réagir et ont attendu le départ de Tuan Anh pour signaler l'incident à la police. Le téléphone, estimé à 200 000 VND, n'a toujours pas été retrouvé.

Devant l'agence d'enquête, ainsi qu'aux procès en première et deuxième instance, Tuan Anh n'a reconnu ni avoir volé le téléphone ni avoir menacé M. Dong avec un couteau, affirmant seulement avoir étranglé ce dernier. L'accusé ignorait d'où venait le couteau. Il a voulu confronter M. Dong, mais la victime a refusé par crainte de représailles.

Les deux verdicts ont établi que le comportement criminel de Tuan Anh était dangereux pour la société. L'accusé a déjà été condamné à trois reprises, dont une pour destruction de biens qui n'a pas encore été acquittée. Il doit donc être isolé de la société pendant une certaine période afin d'obtenir un effet dissuasif suffisant.

Selon VNE

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