Une femme assassinée et un corps brûlé pour cacher des preuves dans un cimetière

Le 14 novembre, l'agence d'enquête de la police de Binh Phuoc a retrouvé l'auteur du meurtre et du brûlage du corps au cimetière de la commune de Phu Rieng.

L'auteur, Bui Thanh Sang, âgé de 50 ans, résidant dans le village de Phu Thanh, commune de Phu Rieng, district de Phu Rieng, a été arrêté pour enquête sur un meurtre.

Le 12 novembre, vers 6 heures du matin, des personnes travaillant dans les champs passant par le cimetière de la commune de Phu Rieng, dans le village de Phu Vinh, ont découvert un corps carbonisé.

Après enquête, la police a découvert de nombreuses taches de sang sur la route. Ce jour-là, vers 10 heures, la police a convoqué le suspect, Bui Thanh Sang, au commissariat pour un interrogatoire. Après plus de cinq heures de lutte, M. Sang a baissé la tête et a avoué tous ses crimes.

Scène de crime.

Selon les premiers témoignages, la victime était son épouse, Mme Tran Thi Mai Hoa, âgée de 50 ans. Dans la nuit du 11 novembre, après une dispute, vers 1 h 30 du matin le 12 novembre, Sang a frappé Mme Hoa à la nuque avec un marteau, provoquant son effondrement et son décès sur le coup.

Pour dissimuler ses actes, cette même nuit, Sang a pris une natte et un imperméable pour envelopper le corps de sa femme et a utilisé une moto pour l'emmener au cimetière populaire de Phu Rieng, dans le village de Phu Vinh, pour la brûler afin de détruire les preuves.

Le corps de la victime à l'extérieur du cimetière.

Après l'avoir aspergé d'essence à plusieurs reprises et brûlé, il ne s'était toujours pas entièrement consumé. À l'aube, craignant que quelqu'un ne le découvre, M. Sang a abandonné le corps de sa femme au cimetière.

Des voisins de Mme Hoa et de son mari ont déclaré que ces derniers étaient originaires de la province de Vinh Long et vivaient dans le village de Phu Thanh depuis plus de dix ans. Au cours de leur vie, le couple s'est souvent disputé. M. Sang buvait beaucoup d'alcool et, dès qu'il était ivre, il battait sa femme.

Selon CAND