Le contrat d'achat de missiles S-400 par la Turquie constituera un « problème difficile » pour l'OTAN
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a qualifié le désir de la Turquie d'acheter le système de missiles de défense aérienne russe S-400 de « question compliquée » pour l'alliance, a écrit Hurriyet Daily News.
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Système de missiles S-400 |
« Je sais que la Turquie a signé un accord pour l'achat de missiles sol-air russes S-400. Il est crucial pour l'Alliance de savoir s'ils seront intégrés aux systèmes de défense aérienne de l'OTAN », a déclaré Stoltenberg aux journalistes.
Comme l'écrit le journal, le contrat S-400Cela a semé la confusion en Occident, car ce missile SAM ne peut être intégré au système de défense aérienne de l'OTAN. Dans le cadre de ce dispositif de protection collective, les alliés de l'OTAN ont convenu de combiner leurs armes pour opérer ensemble.On craint également que l'accord avec la Russie n'aggrave les tensions entre Ankara et Washington, et que les États-Unis n'imposent des sanctions à la Turquie en vertu de la loi sur la lutte contre les adversaires de l'Amérique par le biais de sanctions. Cette loi prévoit l'imposition de sanctions aux pays et aux entreprises signataires de contrats d'armement.
Dans le même temps, M. Stoltenberg a salué la coopération de la Turquie avec le consortium franco-italien pour l'acquisition du SAMP-T. Il a également reconnu que la Turquie est un allié très important de l'OTAN.
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Système de missiles antiaériens multicanaux mobiles S-400 « Triumph » (ZRS) |