Les candidats qui enfreignent les règles d’examen seront traités conformément à la loi.
Au lieu d'être privés du droit d'étudier dans les écoles cette année-là et du droit de passer l'examen pendant les deux années suivantes, lors de l'examen national du lycée de cette année, les candidats seront considérés et traités conformément à la loi s'ils enfreignent les règlements de l'examen dans des cas spécifiques comme prescrit.
Le Ministère de l'Education et de la Formation vient de publier une Circulaire modifiant et complétant un certain nombre d'articles du Règlement sur les Examens Nationaux du Lycée et la Reconnaissance des Diplômes du Lycée par rapport à la Circulaire n° 04/2017/TT-BGDDT publiée le 25 décembre 2017. En conséquence, le règlement durcit les formes de violations par les candidats lors de l'examen.
Des dossiers traités conformément à la loi
Plus précisément, dans le traitement des candidats qui enfreignent les règles d'examen, au lieu de les priver de leur droit d'étudier dans les écoles cette année-là et de passer les examens pendant les deux années suivantes, les règles de cette année comportent de nombreux amendements.
En conséquence, les résultats de l'examen seront annulés et un dossier sera préparé et envoyé à l'autorité compétente pour examen et traitement conformément à la loi pour les candidats qui commettent l'une des erreurs suivantes : falsification de documents pour bénéficier d'avantages préférentiels ou incitatifs ; utilisation de diplômes et de certificats illégaux ; laisser d'autres personnes passer l'examen ou faire le test à leur place sous quelque forme que ce soit ; provoquer des perturbations ou saboter l'examen ; agresser des fonctionnaires ou d'autres candidats ; utiliser des certificats de résultats d'examen illégaux.
Supprimer l'exigence d'un certificat de naissance
Un autre point nouveau dans le règlement de l'examen de cette année est que les candidats indépendants n'ont plus besoin de présenter un certificat de naissance (copie) et un certificat de non-violation de la loi du Comité populaire de la commune où ils résident s'ils n'étaient pas éligibles pour passer l'examen les années précédentes en raison d'une mauvaise conduite en 12e année comme auparavant.
Arrondi à 2 décimales
Conformément à la nouvelle réglementation, la notation des dissertations est effectuée conformément aux instructions de notation, aux corrigés et à l'échelle de notation du ministère de l'Éducation et de la Formation. L'épreuve est notée sur 10 points, et les points impairs de la note totale sont arrondis à deux décimales. Auparavant, dans la circulaire 04/2017/TT-BGDDT, le ministère stipulait que les dissertations étaient notées sur 10 points, jusqu'à 0,25, sans arrondir la note.
Ainsi, la seule matière de dissertation restante à l'examen national de lycée de 2017, la littérature, ne se verra plus attribuer la note de 0,25, comme précédemment réglementé. Il ne sera plus possible de convertir des notes différentes en une même note de 0 ; 0,25 ; 0,5 ; 0,75, comme auparavant.
Ajuster les exigences d'obtention du diplôme
En ce qui concerne les conditions d'examen de la reconnaissance du diplôme d'études secondaires, la circulaire stipule que les candidats qui sont admissibles à passer l'examen, n'ont pas été sanctionnés avec leurs résultats d'examen annulés (auparavant, l'examen était annulé ou plus), tous les examens et matières composantes de l'examen combiné pour la reconnaissance du diplôme obtiennent tous un score supérieur à 1,0 sur une échelle de 10 points et ont un score de 5,0 ou plus seront reconnus comme diplômés du secondaire.
Selon la circulaire, les universités et les collèges qui établissent des délégations de personnel et de professeurs pour coordonner l'organisation des examens dans les conseils d'examen des localités, comme indiqué par le ministère de l'Éducation et de la Formation, n'auront pas à payer les frais de déplacement et d'hébergement du personnel et des professeurs participant à l'organisation des examens.
En revanche, le budget des cadres et enseignants des universités, académies, collèges et universités mobilisés par le ministère de l'Éducation et de la Formation dans leurs localités pour participer à l'organisation des examens sera payé par les localités conformément à la réglementation en vigueur.