Prix du porc aujourd'hui 11 décembre 2024 : Continue d'augmenter dans tous les domaines
Prix du porc aujourd'hui 11 décembre 2024 : Il a continué à augmenter largement et a fixé un nouveau prix de 65 000 VND/kg.
Prix du porc dans la région du Nord
Les prix du porc aujourd'hui (11 décembre 2024) dans la région du Nord ont continué d'enregistrer une augmentation des prix dans certaines localités telles que Bac Giang, Lao Cai, Phu Tho et Tuyen Quang.
Actuellement, le prix du porc vivant dans cette région fluctue entre 62 000 et 65 000 VND/kg. Ainsi, le prix de transaction le plus élevé du pays est de 65 000 VND/kg, enregistré dans les provinces de Thai Nguyen, Phu Tho, Tuyen Quang, Bac Giang et Thai Binh. Dans la même tendance, le prix du porc vivant à Lao Cai a atteint 64 000 VND/kg.
Prix du porc dans la région des Hauts Plateaux
De même, le prix des porcs vivants aujourd'hui (11 décembre 2024) dans la région des Hauts Plateaux du Centre a enregistré une augmentation de 1 000 VND/kg dans la province de Binh Dinh et a atteint 63 000 VND/kg, le même prix que les provinces : Ha Tinh, Quang Binh, Quang Ngai, Dak Lak et Ninh Thuan.
Actuellement, les commerçants de la région centrale achètent des porcs vivants à environ 61 000 - 64 000 VND/kg, le prix de 64 000 VND/kg apparaissant à Thanh Hoa, Nghe An, Binh Thuan et Lam Dong.
Prix du porc dans la région Sud
Le prix des porcs vivants dans la région du Sud a également enregistré aujourd'hui (11 décembre 2024) une augmentation des prix dans les provinces de Binh Phuoc, Ho Chi Minh-Ville, Hau Giang, Tien Giang et Tra Vinh, tous augmentant de 1 000 VND/kg.
Actuellement, le prix du porc vivant dans cette région fluctue entre 62 000 et 64 000 VND/kg. Plus précisément, le prix du porc vivant dans la province a atteint 64 000 VND/kg.
En général, le prix des porcs vivants a continué d'augmenter légèrement dans de nombreuses localités du pays, de 1 000 VND/kg. Selon les données nationales, il oscille entre 61 000 et 65 000 VND/kg.

Par le passé, l'utilisation abusive d'antibiotiques dans l'élevage de Dong Nai constituait un grave problème. Les agriculteurs utilisaient souvent des antibiotiques de manière arbitraire et sans contrôle, allant même jusqu'à utiliser des antibiotiques à usage humain (comme l'ampicilline) pour le bétail et la volaille.
Certains éleveurs continuent d'abuser des antibiotiques pour accroître la résistance et stimuler la croissance du bétail. Cette habitude non seulement augmente les coûts d'élevage, mais nuit également aux animaux et aux consommateurs, et affecte la qualité des aliments.
L'utilisation inappropriée d'antibiotiques peut avoir de graves conséquences. Un excès d'antibiotiques dans l'alimentation peut accroître le risque de résistance aux antibiotiques chez l'homme, provoquant des maladies de santé publique. De plus, l'abus de médicaments réduit l'efficacité des traitements pour le bétail et favorise la résistance aux médicaments, augmentant ainsi le risque d'épidémies.
Pour remédier à ce problème, le Département de l'élevage et de la médecine vétérinaire de Dong Nai a mis en œuvre de nombreuses mesures efficaces. Les autorités ont notamment renforcé le contrôle des pharmacies vétérinaires, garantissant ainsi la conformité de la vente d'antibiotiques à la réglementation. Parallèlement, des formations ont été organisées pour sensibiliser les éleveurs aux effets néfastes de l'abus d'antibiotiques et à une utilisation rationnelle et scientifique des médicaments. De plus, les éleveurs sont tenus de signer un engagement à ne pas utiliser les antibiotiques sans discernement et à mettre en œuvre des mesures efficaces de prévention des maladies.
Les efforts du Département d'élevage et de médecine vétérinaire de Dong Nai ont porté leurs fruits. Le contrôle et la sensibilisation ont contribué à réduire l'usage abusif des antibiotiques, à améliorer la qualité des produits d'élevage et à protéger la santé publique.
Bien que la situation se soit considérablement améliorée, une surveillance et un contrôle continus de l’utilisation des antibiotiques dans l’élevage restent nécessaires pour garantir une efficacité à long terme.
À l'avenir, les autorités devront poursuivre la propagande et la surveillance, et encourager la population à adopter des méthodes d'élevage sûres et efficaces, sans recours excessif aux antibiotiques. Cela contribuera non seulement à protéger la santé du bétail, mais aussi celle des consommateurs et du cadre de vie.