500 policiers ont perquisitionné 61 salles de jeu et arrêté de nombreuses personnes
Le lieutenant-colonel Nguyen Van Han, chef du bureau de l'agence de police d'enquête de la police de la province de Bac Lieu, a déclaré que le 21 décembre, la police de 7 districts et villes a arrêté 40 personnes pour enquêter sur les jeux de hasard et l'organisation de jeux de hasard, dont 32 suspects qui étaient des entrepreneurs de loterie.
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Des suspects de jeux d'argent arrêtés par la police municipale de Bac Lieu. Photo : Phong Khe |
Dans l'après-midi du 20 décembre, plus de 500 policiers de Bac Lieu ont perquisitionné simultanément 61 salles de jeux dans les communes et les quartiers, à l'approche du tirage de la loterie. Au cours de cette perquisition nocturne, outre près de 400 millions de dongs en espèces, les autorités ont saisi temporairement 14 ordinateurs, des fax, 48 téléphones contenant des SMS et 155 machines à sous pour la loterie et le football, avec des mises s'élevant à plusieurs milliards de dongs.
La loterie organisée par Dang Thi Dieu Thao (33 ans, commune de Vinh Loi) à son domicile comptait des dizaines de participants. La police a confisqué 70 millions de VND à cette organisatrice de loterie et 12 machines à sous contenant des centaines de millions de VND.
La police municipale de Bac Lieu a perquisitionné et arrêté Huynh Dai Vinh (28 ans) en flagrant délit d'enregistrement de neuf paris sportifs. Lors d'une perquisition au domicile de Vinh, dans le quartier 5, la police a saisi temporairement 70 millions de dongs, trois téléphones portables et un ordinateur contenant des données suspectées d'être liées aux jeux d'argent.
Selon M. Han, la répression de la criminalité est à son apogée avant le Nouvel An lunaire. La police de Bac Lieu, en étroite collaboration avec les services professionnels et les services de police de sept districts et villes, mène une action d'une ampleur sans précédent. Dans l'après-midi du 21 décembre, 58 personnes impliquées dans des affaires de loterie et de paris sur le football étaient encore interrogées, classées et traitées par la police.
Selon Express