Sept individus ont été arrêtés pour piratage de comptes de réseaux sociaux, fraude et détournement de près de 8 milliards de VND.
Un groupe de 7 personnes a appris à pirater les comptes de réseaux sociaux de dizaines de personnes pour envoyer des messages demandant des prêts d'argent, s'appropriant ainsi près de 8 milliards de VND.
Le 28 janvier, le département de la cybersécurité et de la prévention de la criminalité de haute technologie de la police provinciale de Quang Binh a déclaré que l'unité avait dirigé et coordonné avec les départements spécialisés et la police de la ville de Dong Hoi, la police du district de Quang Ninh pour lutter avec succès contre une affaire, arrêtant un groupe de 7 individus spécialisés dans le piratage de comptes de réseaux sociaux pour commettre des fraudes et s'approprier des biens.

Les 7 sujets arrêtés sont : Vo Van Hung, Nguyen Ngoc Hieu, Nguyen Xuan Kien, Nguyen Van Toai, Nguyen Tung Lam (tous nés en 2006), Nguyen Van Sang (né en 2004), Vo Van Anh (né en 2003), tous résidant dans le district de Quang Ninh.
Au cours de l'enquête, la police a déterminé que, dès le début de l'année 2023, ce groupe d'individus s'est connecté à Internet pour apprendre à pirater les comptes Facebook de nombreuses personnes à travers le pays.
Ensuite, changez le mot de passe, piratez le compte, utilisez le compte Facebook volé pour envoyer des messages demandant un prêt,appropriation d'argent.
Pour préparer le crime, les suspects ont créé une vingtaine de comptes bancaires différents et ont acheté de nombreux autres comptes bancaires « bidon » auprès de vendeurs en ligne afin de dissimuler le fait de recevoir de l’argent frauduleux des victimes.
On estime que le montant total des transactions sur les comptes bancaires utilisés par les personnes concernées s'élève à environ 8 milliards de VND.
Ces individus n'ont reçu aucune formation formelle en informatique. Certains ont même quitté l'école prématurément, mais ont appris, partagé et enseigné entre eux comment commettre des crimes, formant initialement des « nids » et des « groupes » de criminels de haute technologie, semant l'insécurité et le désordre.
L'affaire fait l'objet d'une enquête plus approfondie.


