Malgré la chaleur, les femmes de la région montagneuse de Nghe An continuent de « casser de la colle » sur les collines

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(Baonghean.vn) - Le métier de « saigneuse d'acacia » est étroitement lié au mouvement de reboisement dans les régions montagneuses. Par temps chaud, les femmes gagnent leur vie en saignant les acacias, une activité très pénible.

Lors des journées chaudes, les cueilleurs d'acacias en montagne ont beaucoup de mal. Sur les terrains complexes ou en haute montagne, ils doivent utiliser des excavatrices pour ouvrir des routes en zigzag le long des coteaux afin de transporter les acacias. Photo : Huy Thu
Les « colleurs » travaillent généralement en groupes de 5 à 20 personnes. Chaque commune montagneuse cultivant des acacias, dans les districts d'Anh Son, Thanh Chuong et Con Cuong, compte de 3 à 5 groupes. La plupart des membres de ces groupes sont des femmes. Photo : Huy Thu

La difficulté du travail de « collage » réside dans le fait qu'il est impossible de le faire sous la pluie, car les arbres sont glissants et peuvent facilement provoquer des accidents. De plus, au soleil, c'est trop dur, trop chaud et fatigant. Par ces journées ensoleillées de 38 à 39 degrés, chaque fois qu'ils partent travailler, en plus d'apporter leur déjeuner, de porter des vêtements serrés et de nombreux chapeaux, ils doivent aussi emporter beaucoup d'eau potable et des feuilles pour se protéger du soleil. Photo : Huy Thu

Le travail de « battage de colle » comprend de nombreuses étapes : abattage des arbres, taille des branches, écorcement, transport sur des véhicules… parmi lesquelles l'écorcement est la plus longue. Si elle n'est pas effectuée rapidement, l'arbre sera exposé au soleil, l'écorce adhérera fermement au tronc et sera difficile à décoller. Photo : Huy Thu
Les « briseurs de kumquats » doivent se rendre au travail tôt les jours ensoleillés, vers 3 ou 4 h du matin. Ils sont déjà regroupés pour gravir la colline et couper les arbres et les écorcer. Les ouvriers expliquent que s'ils se rendent au travail à midi, vers 11 h, et qu'ils sont encore au milieu de la colline, ils ne peuvent pas travailler à cause du soleil et de la fatigue. Photo : Huy Thu
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Les femmes qui pratiquent le « cassé-cassé » ne se contentent pas d'écorcer l'acacia, elles sont aussi les principales porteuses. Certaines d'entre elles se chargent également du transport de grosses et lourdes bûches. Photo : Huy Thu

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Casser des kumquats est un travail pénible, parfois même dangereux : on peut être heurté par des arbres, écrasé, broyé, se casser des branches, se faire piquer par des abeilles… Pourtant, les habitants continuent à exercer ce métier, car « il n'y a pas d'autre métier ». Photo : Huy Thu


Si l'exploitation forestière se trouve au sommet d'une colline et que les véhicules ne peuvent pas l'atteindre, les équipes de « décollage » lient souvent le glucane en gros paquets et les roulent en bas de la colline. Pour les grosses grumes, plusieurs personnes se donnent la main pour les transporter. Photo : Huy Thu
Charger la colle dans le camion est également assez difficile. Une fois décollée, la colle est glissante et difficile à tenir. À chaque séance de « collage », chaque équipe peut également charger plusieurs camions de colle. Lors des journées chaudes et ensoleillées, le chargement et le déchargement sont encore plus difficiles en cas d'orage, car la colle est très glissante sous la pluie, ce qui peut facilement provoquer des accidents. Photo : Huy Thu
Le métier de « mouleur de colle » est rémunéré à la production. Après avoir importé la colle, le grossiste rémunère les ouvriers en fonction de la quantité vendue. Chaque jour, chaque personne gagne environ 200 000 VND. Ceux qui possèdent une machine pour couper les arbres ont des salaires plus élevés. Sur la photo : des ouvriers « mouleurs de colle » de la commune de Thanh My (Thanh Chuong) partent après une séance de fabrication de colle par une chaude journée. Photo : Huy Thu
Le dur labeur de « fracasser la colle ». Extrait : Huy Thu

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