Vote de confiance pour le Président et le Premier ministre depuis 2013

November 22, 2012 07:28

Au cours de la séance de travail du matin du 21 novembre, avec 474/478 délégués présents votant pour (95,18%), l'Assemblée nationale a adopté une résolution sur la mise en place d'un vote de confiance et d'un vote de défiance pour les personnes occupant des postes élus ou approuvés par l'Assemblée nationale ou le Conseil populaire.



Les délégués de l’Assemblée nationale ont appuyé sur le bouton pour adopter la résolution.
(Photo : Doan Tan/VNA)

Avec l'approbation de cet important document, à partir du 1er février 2013, une nouvelle méthode visant à améliorer l'efficacité de la supervision par l'Assemblée nationale et les Conseils populaires des personnes occupant des postes élus ou approuvés par l'Assemblée nationale et les Conseils populaires sera introduite ; en aidant ces personnes à reconnaître leur niveau de confiance afin qu'elles puissent prendre des mesures pour s'efforcer, pratiquer et améliorer leurs responsabilités et leurs performances.

Les votes de confiance et de défiance visent à améliorer l'efficacité et l'efficience des activités de contrôle de l'Assemblée nationale et du Conseil populaire, en permettant aux élus de mesurer leur niveau de confiance afin de s'efforcer, de mettre en pratique et d'améliorer la qualité et l'efficacité de leurs activités. Ils servent également de base aux organismes et organisations compétents pour l'évaluation, la formation et l'utilisation des cadres. L'Assemblée nationale et les Conseils populaires organisent des votes de confiance annuels dès la deuxième année de leur mandat ; pour la période 2011-2016, le premier vote de défiance a eu lieu lors de la première session de 2013.

Les critères d'évaluation du niveau de confiance dans les personnes occupant des postes élus ou approuvés par l'Assemblée nationale ou le Conseil populaire comprennent : l'exercice des fonctions et des pouvoirs ; les qualités politiques, l'éthique et le mode de vie.

Selon la résolution, l'Assemblée nationale votera la confiance et la défiance pour les postes suivants : Président, Vice-président ; Président de l'Assemblée nationale, Vice-président de l'Assemblée nationale, Président du Conseil national, Présidents des commissions de l'Assemblée nationale, autres membres du Comité permanent de l'Assemblée nationale ; Premier ministre, Vice-Premiers ministres, Ministres, autres membres du Gouvernement ; Président de la Cour populaire suprême, Procureur général du Parquet populaire suprême, Auditeur général de l'État.

Le Conseil populaire vote la confiance des personnes occupant les postes suivants : président du Conseil populaire, vice-président du Conseil populaire, membre permanent du Conseil populaire, chef du comité du Conseil populaire ; président du comité populaire, vice-président du comité populaire et autres membres du comité populaire.

En particulier, les candidats jugés « peu fiables » par plus de la moitié des députés de l'Assemblée nationale et du Conseil populaire peuvent démissionner. Ceux jugés « peu fiables » par plus des deux tiers des députés de l'Assemblée nationale et du Conseil populaire, ou jugés « peu fiables » par plus de la moitié des députés de l'Assemblée nationale et du Conseil populaire pendant deux années consécutives, seront soumis à un vote de confiance de la Commission permanente de l'Assemblée nationale ou du Conseil populaire.

Si plus de la moitié du nombre total des députés de l'Assemblée nationale ou des députés du Conseil populaire votent « censure », l'organisme compétent ou la personne qui a présenté cette personne à l'élection ou qui a été approuvée par l'Assemblée nationale ou le Conseil populaire est chargé de soumettre à l'Assemblée nationale ou au Conseil populaire, pour examen et décision, la révocation, la révocation ou l'approbation de la révocation ou de la révocation de la personne qui n'a pas la confiance de l'Assemblée nationale ou du Conseil populaire.

En fin de matinée, l'Assemblée nationale a examiné en séance plénière le projet de loi relatif à la prévention, à la prévention et à l'atténuation des catastrophes naturelles. C'est sur ce sujet que les députés ont débattu en groupes lors de la journée de travail du 8 novembre.

Les opinions exprimées lors de la séance de discussion ont suggéré que cette loi devrait codifier les documents relatifs à la prévention et au contrôle des catastrophes naturelles (loi sur les digues, ordonnance sur la prévention et le contrôle des inondations et des tempêtes ; ordonnance sur l'exploitation et la protection des ouvrages d'irrigation ; ordonnance sur l'exploitation et la protection des ouvrages hydrométéorologiques...) et pas seulement codifier l'ordonnance sur la prévention et le contrôle des inondations et des tempêtes.

De nombreuses opinions suggèrent de définir clairement le principe selon lequel « l’État doit avoir la responsabilité première de prévenir et de combattre les catastrophes naturelles » ; garantir la vie des personnes devrait être le principe primordial.

Les députés de l’Assemblée nationale ont également proposé de compléter les politiques de gestion et de résolution des conséquences des catastrophes naturelles afin de mobiliser des ressources pour ce travail ; en même temps, d’encourager les entreprises et les organisations économiques à investir dans les zones touchées par les catastrophes ; et de garantir des informations d’alerte en temps opportun pour les pêcheurs hauturiers.

Le délégué a également suggéré que le projet de loi stipule que les forces armées constituent la force principale dans la prévention, la réponse et le dépassement des conséquences des catastrophes naturelles ; clarifie ce que l'on entend par forces « professionnelles » et « semi-professionnelles » pour faciliter la mobilisation et l'utilisation de ces forces et pour progresser vers une force principale, professionnelle et forte.

La discussion a également pris note des avis suggérant que le projet de loi devrait stipuler plus spécifiquement, clarifier et séparer les responsabilités de gestion de l'État des ministères, des agences de niveau ministériel ainsi que des comités populaires à tous les niveaux et le mécanisme de coordination entre les forces participant à la prévention et au contrôle des catastrophes naturelles ; en même temps, déterminer spécifiquement les responsabilités ainsi que traiter les violations des chefs des agences de prévention et de contrôle des catastrophes naturelles.


Selon (TTXVN)-LT

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