Déficit budgétaire de près de 4 500 milliards de VND au cours des 15 premiers jours de l'année
L'Office général des statistiques vient de publier un rapport préliminaire sur la situation des recettes et des dépenses du budget de l'État au cours des 15 premiers jours de 2021.
En conséquence, le totalrecettes du budget de l'ÉtatLes 15 premiers jours de janvier 2021 devraient atteindre 36 000 milliards de VND, soit 2,7 % des estimations de l'année, dont les recettes intérieures ont atteint 22 500 milliards de VND, soit 2 % ; les recettes du pétrole brut ont été de 989 milliards de VND, soit 4,3 % ; les recettes du solde budgétaire provenant des activités d'import-export ont été de 12 600 milliards de VND, soit 7 %.
Français Plus en détail, dans les recettes intérieures, les recettes du secteur des entreprises publiques ont atteint 1 006 milliards de VND, soit 0,7 % de l'estimation annuelle ; les recettes des entreprises à capitaux étrangers (hors pétrole brut) 2 863 milliards de VND, soit 1,4 % ; les recettes des taxes industrielles, commerciales et de services non étatiques 3 727 milliards de VND, soit 1,6 % ; les recettes de l'impôt sur le revenu des personnes physiques 2 485 milliards de VND, soit 2,3 % ; les recettes de la taxe sur la protection de l'environnement 329 milliards de VND, soit 0,5 % ; les recettes des taxes d'utilisation des terres 6 621 milliards de VND, soit 5,9 %.
D'autre part, les dépenses totales du budget de l'État au cours des 15 premiers jours de janvier sont estimées à 42,5 billions de VND, soit 2,5% de l'estimation annuelle, dont les dépenses ordinaires sont de 29,7 billions de VND, soit 2,9%; les dépenses d'investissement de développement sont de 3 billions de VND, soit 0,6%; le paiement des intérêts de la dette est de 9,8 billions de VND, soit 8,9%.
Ainsi, au cours des 15 premiers jours de 2021, le budget de l’État a enregistré un déficit d’environ 4,2 billions de VND.
SelonOffice général des statistiquesOn estime que ce déficit s'explique par le fait que nous sommes en début d'année et que la date limite de déclaration des impôts n'est pas encore arrivée, ce qui entraîne une baisse des recettes intérieures. Parallèlement, les dépenses du budget de l'État doivent assurer le développement socio-économique, la défense nationale, la sécurité, la gestion de l'État et le paiement des dettes.
Il est connu que récemment, les dirigeants du ministère des Finances ont publié un plan d'action pour mettre en œuvre la résolution n° 01/NQ-CP du gouvernement sur les principales tâches et solutions pour diriger la mise en œuvre du plan de développement socio-économique et des estimations du budget de l'État pour 2021 et le programme de rédaction des documents juridiques en 2021 du ministère des Finances.
En particulier, les dirigeants du ministère des Finances ont fixé des objectifs spécifiques tels que le taux de mobilisation budgétaire de 15,5 % du PIB ; le taux d'arriérés d'impôts inférieur à 5 % des recettes budgétaires totales ; les efforts visant à augmenter les recettes budgétaires par rapport aux estimations de 3 % ; la proportion des dépenses ordinaires (hors salaires et rationalisation du personnel) est de 61,5 % ; la proportion des dépenses d'investissement pour le développement est de 28,3 % ; le déficit budgétaire par rapport au PIB est de 4 % ; la dette publique par rapport au PIB est de 46,1 % et la dette publique est de 41,9 % du PIB.
Dans ce plan d'action, le ministère des Finances a défini un ensemble de tâches visant à poursuivre la mise en œuvre, avec souplesse et efficacité, du « double objectif » : prévenir et combattre la pandémie de Covid-19 et développer l'économie. Conformément aux directives du gouvernement, le ministère des Finances continuera de collaborer étroitement avec la Banque d'État, le ministère de la Planification et de l'Investissement et le ministère de l'Industrie et du Commerce pour mettre en œuvre, de manière proactive et flexible, des politiques budgétaires et monétaires visant à réguler la macroéconomie et à garantir la stabilité économique.stabilité macroéconomique, contrôler l’inflation et les grands équilibres économiques.