Les Indonésiens luttent contre le désespoir après la catastrophe du tsunami

Le quartier de Balaro à Palu a été détruit après le séisme et le tsunami. Photo : Le Monde

Junaedi, 48 ans, directeur bénévole du Front islamique, devant la mosquée : « Je suis triste comme tout le monde, mais j’ai aussi besoin d’aider les autres. » Photo : Le Monde

À Balaroa, dans la ville de Palu, le sol gorgé d'eau a complètement détruit toute la zone. Photo : Le Monde

Des filles mendient dans les rues de Donggala le 6 octobre. Photo : Le Monde

Mursid, 40 ans, qui vit à Balaroa, Palu, a déclaré : « Après le tremblement de terre, je n'ai vu que de la poussière partout et j'ai essayé de courir pour me mettre à l'abri. » Photo : Le Monde

« Quand j'ai vu la première vague, j'étais abasourdi. Puis, quand j'ai vu les deuxième et troisième vagues, encore plus hautes, j'ai pris la fuite avant qu'elles ne me touchent », a déclaré Aja, 32 ans, debout devant ce qui était autrefois sa maison à Loli. Photo : Le Monde

Un homme se tient devant les décombres des maisons détruites par un tsunami à Donggala, sur l'île de Célèbes, le 6 octobre. Photo : Le Monde

Jabbar et Misna, 35 ans, se tiennent devant leur abri temporaire à Balaroa, Palu. « Après le tremblement de terre, ma famille a couru dans la rue et a vu toutes les maisons s'effondrer des deux côtés de la route », ont-ils déclaré. Photo : Le Monde

Des femmes ramassent des vêtements donnés tandis qu'un enfant joue d'un instrument de musique à Balaroa, Palu, le 6 octobre. Photo : Le Monde

Soldats en patrouille à Balaroa. Photo : Le Monde

Ijen, 44 ans, se tient devant sa maison en ruine à Loli. « Ma maison a été détruite, j'ai tout perdu mais je suis resté pour reconstruire. » Photo : Le Monde

Les femmes qui ont perdu leur maison après le tremblement de terre et le tsunami vont chercher de l'eau. Photo : Le Monde