Le professeur Ngo Bao Chau soutient l'auto-sélection dans l'apprentissage du chinois et du russe.
« C’est un progrès pour les enfants de pouvoir choisir l’une des cinq langues à apprendre comme première langue étrangère. De toute évidence, parmi ces cinq langues, le chinois doit en faire partie », a déclaré le professeur Ngo Bao Chau.
Le 24 septembre, le professeur Ngo Bao Chau a partagé sur sa page personnelle son opinion en faveur de l'enseignement du chinois et du russe aux enfants vietnamiens. Selon lui, autrefois, les enfants vietnamiens apprenaient l'anglais parce que les États-Unis étaient le pays le plus riche du monde. À l'époque où l'Union soviétique était si puissante, les enfants devaient apprendre le russe. Par conséquent, la possibilité de choisir l'une des cinq langues étrangères comme première langue étrangère est un progrès, et le chinois doit en faire partie.> Afficher les détails du statut
 |
Le professeur Ngo Bao Chau soutient les enfants qui choisissent d'apprendre l'anglais comme principale langue étrangère. |
Le professeur Ngo Bao Chau a également ajouté qu'apprendre le chinois permet de commercer avec les Chinois et de comprendre les pays voisins.
Les propos du professeur Ngo Bao Chau ont suscité un vif intérêt, avec plus de 7 000 « J’aime » et plus de 400 partages. De nombreuses personnes ont approuvé son point de vue. Le professeur Ha Huy Khoi a commenté : « Si le choix n’est pas obligatoire mais laissé à la discrétion du candidat, alors il est évident que plus le choix est vaste, mieux c’est. »
Thanh Tran-Trong, utilisateur de Facebook, conteste cet avis : « C’est inadmissible ! Ceux qui veulent apprendre peuvent apprendre, il n’est pas nécessaire de le populariser. Depuis que les Polonais ont cessé d’apprendre le russe, ils se sont développés rapidement et continuent de commercer avec la Russie. Apprendre le chinois est facile, mais signer des contrats en mandarin est très difficile. Les affaires devraient être signées en anglais, c’est plus sûr. »
Le 17 septembre, le ministère de l'Éducation et de la Formation a proposé de mettre en place un projet pilote d'enseignement du chinois et du russe aux élèves de troisième année à partir de 2017. Ce point de vue a suscité une vive controverse au sein de la communauté.
Selon VNE
