Avidité pour des choses étranges... un fonctionnaire de la commune condamné

May 26, 2012 10:46

(Baonghean) En tant que cadre et membre du parti exemplaire, avec une famille heureuse et paisible..., Nguyen Van B a tout perdu à cause de son avidité pour les choses étranges.


Le 27 avril 2012, le tribunal populaire du district de Yen Thanh a tenu le procès en première instance de l'affaire Nguyen Van B, coupable de « rapports sexuels avec des enfants ».


Dès le petit matin, les membres de la famille du prévenu, les proches du prévenu et de la victime, ainsi que des curieux se sont rassemblés au palais de justice, car le criminel était l'ancien président de l'Association des agriculteurs de la commune et la victime était une jeune fille de 15 ans, voisine et amie proche de l'enfant du prévenu.


Selon l'acte d'accusation, dans l'après-midi du 15 juillet 2011, T, un camarade de classe de la fille de B, s'est rendu au domicile de l'accusé pour jouer. Voyant T, B lui a demandé : « Ta mère et ton frère sont-ils là ? » et T a répondu : « Ta mère et ton frère sont tous les deux sortis. » Vers 22 heures, B savait que la mère et le frère de T n'étaient pas là, alors il s'est infiltré dans la maison et a trouvé T endormi sur le lit. L'accusé a commis un acte obscène sur T. T était si effrayé qu'il n'a pas osé en parler à sa famille. En juillet 2011, T s'est rendu auMâleJe jouais avec mon oncle et j'ai découvert que j'avais une maladie gynécologique. Mon oncle m'a emmenée chez le médecin et a constaté que mon hymen était déchiré et mon vagin blessé. Ce n'est qu'après que mon oncle m'a interrogée que j'ai osé dire la vérité. Ma famille a porté plainte contre le policier qui avait du sang D.



Tout au long de la matinée du procès, l'accusé a baissé la tête et plaidé coupable, car, quelle que soit la raison, il ne pouvait justifier son crime honteux. La victime, une adolescente de 15 ans au visage innocent, se tenait aux côtés de son oncle. Elle semblait encore terrifiée à l'idée de se trouver si près de celui qui avait ruiné sa vie.


Sa mère, déjà chétive à cause d'une maladie cardiaque, paraissait encore plus abattue. Des larmes coulaient du visage de cette malheureuse femme, abandonnée par son mari, témoin de la souffrance de sa fille, rendant les spectateurs du procès incapables de retenir leurs larmes. L'épouse de l'accusé, l'enseignante H., est restée silencieuse pendant le témoignage de son mari. Après des décennies de vie commune, avec de nombreux enfants et une famille aisée, elle devait désormais endurer la douleur et l'humiliation de son mari.


Lorsqu'il a eu le dernier mot avant que le jury ne délibère, l'accusé a baissé la tête, a marmonné des excuses et a demandé pardon à la famille de la victime et la clémence de la loi.


Le procès s'est terminé, la peine de 18 mois de prison prononcée contre l'accusé était justifiée. Aujourd'hui, au cours de ces mois de rééducation, l'accusé devra faire face à la dure épreuve de sa conscience. Par manque de maîtrise de lui-même et de ses désirs les plus vils, il a volé ce qu'il y avait de plus précieux dans la vie d'une jeune fille du même âge que la sienne, celle qui l'appelait encore « tonton ».


Parmi les personnes présentes au procès, certains compatissaient à la jeune fille qui portait bientôt des blessures émotionnelles et des complexes qui ne s'effaceraient probablement jamais de toute sa vie, d'autres se sentaient désolés pour un fonctionnaire conscient et qualifié qui devait sacrifier sa réputation, sa carrière et surtout, perdre la vie.

J'ai perdu toute confiance en mes proches parce que je n'ai pas pu me contrôler pendant un instant.

Cette affaire constitue également un signal d’alarme pour les parents, qui doivent prêter davantage attention à leurs filles afin d’éviter des conséquences douloureuses.


DH

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