Minimiser la conversion des terres pour la riziculture

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Français Selon le décret, le budget de l'État prendra en charge 70 % du coût des engrais et des pesticides lorsque la production de riz est endommagée de plus de 70 % ; le niveau de soutien est de 50 % lorsque la production de riz est endommagée de 30 à 70 %. Dans le même temps, le budget de l'État prendra également en charge 70 % du coût de la récupération et de la conversion des terres inutilisées en rizières ou de la conversion d'autres rizières en rizières spécialisées ; le niveau de coût est déterminé par le Comité populaire de la province ou de la ville gérée par le gouvernement central. 100 % de soutien pour les semences de riz la première année de production sur les rizières nouvellement récupérées. 70 % de soutien pour les semences de riz la première année de production sur d'autres rizières converties en rizières spécialisées. En outre, la priorité sera donnée au soutien des coûts d'assurance de la production de riz conformément à la réglementation.

Le décret prévoit également un soutien budgétaire aux localités rizicoles. Durant la période de stabilisation des budgets locaux (2012-2015), outre le soutien du budget de l'État conformément à la réglementation en vigueur, le budget central apportera également un soutien supplémentaire ciblé aux budgets locaux pour la production rizicole. Plus précisément, une aide de 500 000 VND/ha/an sera accordée aux terres spécialisées dans la riziculture humide ; une aide de 100 000 VND/ha/an sera accordée aux autres terres rizicoles, à l'exception des rizières pluviales qui sont spontanément étendues sans respecter le plan d'aménagement du territoire pour la riziculture.

Le décret stipule clairement qu'il est nécessaire de limiter la conversion des terres utilisées pour la riziculture humide à des fins non agricoles, d'encourager la remise en état des terres pour étendre la superficie des terres utilisées pour la riziculture et de convertir d'autres terres rizicoles en terres utilisées pour la riziculture humide.

La conversion de l'usage des terres à des fins de riziculture spécialisée doit satisfaire à trois conditions : être conforme à la planification et au plan d'utilisation des terres approuvés et être autorisée par l'organisme d'État compétent à convertir l'usage des terres ; avoir un plan d'économies foncières maximales, indiqué dans la description globale du projet approuvée par l'organisme d'État compétent ; les organisations et les particuliers auxquels l'État attribue ou loue des terres à des fins non agricoles à partir de terres de riziculture spécialisée conformément à la réglementation doivent avoir un plan d'utilisation de la couche arable et de compensation de la superficie des terres de riziculture spécialisée perdue en raison de la conversion de l'usage des terres conformément à la réglementation.

Le décret stipule également spécifiquement les responsabilités des exploitants de terres rizicoles. En conséquence, les exploitants de terres rizicoles doivent les utiliser à bon escient, conformément au plan d'aménagement du territoire approuvé par les autorités compétentes ; les utiliser de manière économique, ne pas les laisser en jachère, ni les polluer ni les dégrader. Il est strictement interdit de polluer, de dégrader ou de déformer la surface du sol, rendant impossible la culture du riz ; de laisser en jachère des terres dédiées à la riziculture humide pendant douze mois ou plus et d'autres terres rizicoles pendant deux ans ou plus, sauf en cas de force majeure.


Selon VNA

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