Kim Jong-un pourrait bientôt se rendre en Russie ; le Venezuela arrête le « chef d’état-major » de l’opposition
(Baonghean.vn) - Le président ukrainien signe un décret pour sanctionner la Russie ; Le chef de l'opposition accuse les services de renseignement vénézuéliens d'avoir arrêté le chef d'état-major ; Le dirigeant nord-coréen devrait se rendre prochainement en Russie ; L'Egypte va tester les employés de l'État pour détecter la présence de drogues... sont les nouvelles les plus marquantes du monde au cours des dernières 24 heures.
Yonhap : le dirigeant nord-coréen devrait bientôt se rendre en Russie
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Le président nord-coréen Kim Jong-un (à gauche) et le président russe Vladimir Poutine (à droite). Photo : EXPRESS/TTXVN |
Le 21 mars, l'agence de presse Yonhap a cité plusieurs sources indiquant que Kim Chang-son, proche collaborateur du dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, séjournait à Moscou depuis le début de la semaine, laissant entrevoir la possibilité d'une prochaine visite du dirigeant Kim Jong-un en Russie. Kim Chang-son s'est rendu à Moscou via Pékin le 19 mars et se trouve actuellement dans la capitale russe.
Kim Chang-son est responsable de la logistique en prévision des visites à l'étranger du dirigeant Kim Jong-un. Avant que Kim Jong-un ne se rende à Singapour en juin 2018 et au Vietnam en février 2019 pour des entretiens avec le président américain Donald Trump, Kim Chang-son s'est rendu dans ces deux pays afin de préparer les protocoles diplomatiques et logistiques.
Le président ukrainien signe un décret sur les sanctions contre la Russie
Le président ukrainien Petro Porochenko. Photo : Reuters |
Le président ukrainien Petro Porochenko a signé un décret imposant de nouvelles sanctions aux entreprises et aux individus russes impliqués dans la construction et d'autres activités en Crimée.
Les sanctions visaient les individus et entités impliqués dans la construction du pont de Kertch reliant la péninsule de Crimée à la Russie continentale, ainsi que l’incident de novembre 2018 dans la mer Noire, lorsque la Russie a saisi des navires et des marins ukrainiens.
Un chef de l'opposition accuse les services de renseignement vénézuéliens d'avoir arrêté le chef d'état-major
Roberto Marrero, chef de cabinet de l'opposant vénézuélien Juan Guaido. Photo :Infobae. |
Le leader de l'opposition vénézuélienne Juan Guaido a déclaré le 21 mars que son chef de cabinet, Roberto Marrero, avait été arrêté par le Service national bolivarien de renseignement (SEBIN) ce matin-là, selonAFPMarrero a également publié un message vocal sur les réseaux sociaux indiquant qu'il avait été arrêté.
Des agents du SEBIN auraient perquisitionné le domicile de Marrero à Caracas, la capitale, avant l'aube. Le député de l'opposition vénézuélienne Sergio Vergara a déclaré que des agents des services de renseignement avaient également perquisitionné son domicile, mais ne l'avaient pas arrêté.
L'Égypte va tester les employés de l'État pour détecter la présence de drogues
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Dépistage de drogues chez les chauffeurs de bus scolaires en Égypte. Photo : Al Ahramonline. |
Le gouvernement égyptien a approuvé un projet de loi exigeant un dépistage de drogues pour tous les employés de l'État avant leur embauche, leur promotion, leur contrat ou leur renouvellement. Pour les employés des agences gouvernementales, le dépistage sera effectué sans préavis. Les personnes testées positives seront suspendues de leurs fonctions.
Les nouvelles règles s'appliquent également aux personnes travaillant dans les orphelinats, les maisons de retraite, les centres de réadaptation, les écoles et les hôpitaux privés. Le projet de loi prévoit que les employés qui refusent de se soumettre au test ou s'y soustraient délibérément sans raison valable seront licenciés. Le projet de loi sera soumis au Parlement pour approbation.
La Thaïlande lutte contre les fausses nouvelles sur les réseaux sociaux à l'approche des élections
Les électeurs thaïlandais ont voté par anticipation à Bangkok dimanche, avant les élections générales du 24 mars 2019. (Photo AFP) |
Afin de prévenir les fausses informations susceptibles d'influencer les élections prévues le 24 mars, les autorités thaïlandaises ont mis en place une unité de surveillance appelée « Centre de guerre électronique ». Les employés de cette unité analyseront chaque jour des milliers de publications sur les réseaux sociaux à la recherche de fausses publications, de publications insultantes envers les candidats ou de messages au langage inapproprié. Ces publications seront imprimées, tamponnées et envoyées à Facebook pour examen et suppression.
M. Sawang Boonmee, secrétaire général adjoint de la Commission électorale de Thaïlande, a affirmé que cela faisait partie de la campagne du gouvernement visant à éliminer les obstacles qui pourraient affecter les premières élections démocratiques en Thaïlande depuis 2014.