Exonération de TVA et d'impôt sur le revenu des personnes physiques pour certains sujets
Le Gouvernement vient de publier un décret détaillant et guidant la mise en œuvre de la résolution de l'Assemblée nationale sur un certain nombre de solutions pour mettre en œuvre le budget de l'État en 2013 et 2014.
Ce décret prévoit notamment l'exonération de l'impôt forfaitaire (taxe sur la valeur ajoutée, impôt sur le revenu des personnes physiques) et de l'impôt sur les sociétés en 2013 et 2014 pour les ménages, les particuliers et les organisations.
Plus précisément, l'exonération de l'impôt forfaitaire (taxe sur la valeur ajoutée, impôt sur le revenu des personnes physiques) en 2013 et 2014 pour les ménages et les particuliers exploitant des pensions et des chambres à louer aux ouvriers, aux travailleurs, aux étudiants ; les ménages et les particuliers fournissant des services de garde d'enfants ; les ménages et les particuliers fournissant des repas postés aux travailleurs.
Exonération de la TVA et de l'impôt sur les sociétés exigibles en 2013 et 2014 pour l'activité de restauration collective des salariés (à l'exclusion de l'activité de restauration collective des entreprises de transport et d'aviation et des autres activités commerciales) de l'entreprise. Si l'entreprise exerce plusieurs activités, le montant de l'exonération d'impôt sur les sociétés est calculé uniquement sur le revenu de l'activité de restauration collective. Si le revenu de l'activité exonérée d'impôt ne peut être déterminé, le revenu servant au calcul du montant exonéré d'impôt est déterminé par le pourcentage (%) entre le chiffre d'affaires de l'activité de restauration collective et le chiffre d'affaires total de l'entreprise au cours de l'année d'exonération.
Le décret stipule clairement que les ménages, les particuliers exerçant une activité professionnelle et les entreprises exonérées d'impôt doivent s'engager à maintenir stables les prix des locations de chambres, des pensions, des services de garde d'enfants et des repas en 2013 et 2014, sans dépasser ceux de décembre de l'année précédente. Ces prix doivent être rendus publics, affichés dans l'établissement et notifiés aux autorités locales de la commune ou du quartier où l'entreprise est située, ainsi qu'à l'administration fiscale qui la gère directement.
En outre, ce décret prévoit également les recettes du budget de l'État pour les dividendes distribués en 2013 et 2014 pour la part du capital de l'État dans les sociétés par actions à capital d'État représentées par les ministères, les succursales et les localités...
Selon SGGP