Sous l'emprise de drogues, un mari tue sa femme après avoir vu son visage se « transformer »

Di Lam November 14, 2018 21:03

Ayant des hallucinations et voyant le visage de sa femme déformé, Nguyen Thanh Tuan a pris de nombreux objets métalliques et a poignardé sa femme à mort.

Le 14 novembre, le tribunal populaire de première instance de Ho Chi Minh-Ville a condamné à mort l'accusé Nguyen Thanh Tuan (né en 1985, résidant à Ho Chi Minh-Ville) pour le crime de « meurtre ».

Selon l'acte d'accusation, Nguyen Thanh Tuan et Nguyen Mai Thuy Tien vivent ensemble comme mari et femme depuis 2014. Vers 21 heures le 6 septembre 2017, Tuan et sa femme ont consommé de la méthamphétamine en cristaux ensemble dans leur chambre louée.

L'accusé Nguyen Thanh Tuan a été condamné à mort pour « meurtre ».

Le lendemain matin, à une heure du matin, sous l'emprise de la drogue, Tuan a vu le visage de Tien comme un crâne. Imaginant qu'il allait être attaqué, il a frappé et poignardé sa femme avec de nombreux objets métalliques.

Après avoir repris connaissance, Tuan a vu sa femme gisant inconsciente sur le sol. Pris de panique, il a tenté de s'enfuir, mais en vain. Lorsque la police a découvert l'incident, la victime était décédée. Devant l'agence d'enquête, Tuan a avoué le crime.

Lors du procès en première instance, l'accusé Tuan a expliqué avoir agi brutalement parce qu'il était sous l'emprise de drogues et souffrait d'hallucinations, ce qui l'empêchait de contrôler ses actes. L'accusé a plaidé coupable et a sollicité la clémence de la justice.

Avant cela, Tuan avait dû suivre un programme de désintoxication obligatoire. Peu après son retour, il a été condamné à deux ans et six mois de prison pour « possession illégale de drogue ». Après avoir purgé sa peine, son état ne s'est pas amélioré et il a continué à consommer de la drogue.


Selon nld.com.vn
Copier le lien

Journal Nghe An en vedette

Dernier

x
Sous l'emprise de drogues, un mari tue sa femme après avoir vu son visage se « transformer »
ALIMENTÉ PARUNCMS- UN PRODUIT DENEKO