Les travailleurs à temps partiel dans les communes et les quartiers seront couverts par l’assurance sociale.

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Le matin du 13 août, lors de la 30e séance de la Commission permanente de l'Assemblée nationale (CNAN) consacrée au projet de loi sur l'assurance sociale (modifié), de nombreux avis ont rejoint les recommandations de la Commission des affaires sociales. Cependant, l'inclusion des travailleurs non professionnels au niveau communal dans l'assurance sociale (AS), de manière obligatoire ou volontaire, mérite d'être étudiée.

Le matin du 13 août, lors de la 30e séance de la Commission permanente de l'Assemblée nationale (CNAN) consacrée au projet de loi sur l'assurance sociale (modifié), de nombreux avis ont rejoint les recommandations de la Commission des affaires sociales. Cependant, l'inclusion des travailleurs non professionnels au niveau communal dans l'assurance sociale (AS), de manière obligatoire ou volontaire, mérite d'être étudiée.

Français Le rapport de la Commission des affaires sociales présenté par la présidente Truong Thi Mai a déclaré : De nombreux députés de l'Assemblée nationale ont accepté d'ajouter le groupe des travailleurs non professionnels au niveau des communes à la participation à l'assurance sociale obligatoire. Cependant, sur cette question, il y a deux options. Option 1 : Proposer de stipuler que ce groupe est un groupe de personnes participant à l'assurance sociale volontaire et est prioritaire par l'État pour le soutien parce que ce groupe n'a pas droit à un salaire mais seulement à des prestations, ne travaille pas à temps plein et aura des difficultés à résoudre les problèmes de maladie, de maternité, d'accident du travail, de maladie professionnelle (polices d'assurance sociale obligatoire). Option 2 : Approuver l'application de l'assurance sociale obligatoire.

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Le Comité permanent estime que si ce groupe est tenu de cotiser à l'assurance sociale volontaire, le projet de loi doit préciser le salaire mensuel de base et le niveau maximal de soutien de l'État, qui ne doit pas dépasser 10 %. Le taux précis sera déterminé par le gouvernement afin de garantir sa compatibilité avec les capacités budgétaires de chaque période.

Commentant le projet de loi, le président de la Commission des pétitions de l'Assemblée nationale, Nguyen Duc Hien, a déclaré : « Grâce aux échanges avec les électeurs, de nombreuses voix s'élèvent pour réclamer le paiement de la sécurité sociale. On dit qu'ils travaillent à temps partiel, mais toute la journée, et leurs indemnités dépendent des conditions économiques locales. Dans les régions reculées, ils n'ont pas de régime. Ils « mangent à la maison, mais portent la prison et le village ». À long terme, lors de l'élaboration de la loi sur les collectivités locales, il faudra envisager la possibilité de les intégrer à la fonction publique. »

Le président de l'Assemblée nationale, Nguyen Sinh Hung, s'est dit préoccupé par le projet de loi prévoyant des mesures incitatives visant à accroître le nombre de participants à l'assurance sociale volontaire en modifiant la réglementation sur les taux de cotisation, les modes de paiement, les prestations d'assurance sociale volontaire et le soutien de l'État. « Le budget de l'État peut-il supporter cette politique de soutien aux agriculteurs, ouvriers, travailleurs, fonctionnaires et semi-fonctionnaires, tous au niveau de quasi-pauvreté ? Les salaires n'ont pas encore augmenté, et encore moins les assurances. Cette idée politique est bienvenue, mais elle doit être calculée de manière pratique », a-t-il déclaré.

Le président de la Confédération générale du travail du Vietnam, Dang Ngoc Tung, a proposé de moderniser la gestion de la question de la participation des cadres à temps partiel des communes et des quartiers à la sécurité sociale. « Dans le monde, le travail est désormais calculé à l'heure, à la semaine. Nous ne devrions donc pas baser notre travail sur l'année, mais sur le salaire et les revenus. Nous devons adopter une nouvelle approche, changer complètement notre méthode de gestion », a déclaré M. Tung, suggérant de mettre en place un modèle de gestion de la sécurité sociale similaire à celui de Singapour. « Il faut que la sécurité sociale soit basée sur le salaire versé, et non pas sur le fait de labourer les champs le matin et d'aller travailler à la commune l'après-midi sans payer », a insisté M. Dang Ngoc Tung.

La vice-présidente de l'Assemblée nationale, Nguyen Thi Kim Ngan, a souligné que le principe de l'assurance sociale est le partage. Il est donc nécessaire de convenir avec les travailleurs saisonniers et les contrats de travail d'une durée de 1 à 3 mois que la mise en œuvre de l'assurance sociale est nécessaire, mais cela demande du temps, de la préparation et de la communication. Il est possible de préparer la mise en œuvre en 2018. La question de la participation des cadres spécialisés des communes et des quartiers à l'assurance sociale obligatoire n'a pas encore résolu le problème de l'équilibre budgétaire ; il est donc plus raisonnable de la laisser sous forme volontaire en raison du nombre important de personnes concernées. Le gouvernement déterminera le niveau de soutien approprié en fonction de la situation budgétaire et économique.

Actuellement, 23 localités et conseils populaires provinciaux ont soutenu les cotisations volontaires d'assurance sociale pour les travailleurs à temps partiel au niveau communal.

À l'échelle nationale, environ 229 592 cadres non professionnels au niveau communal opèrent sous les dispositions du décret n° 92/2009/ND-CP. Si l'assurance sociale obligatoire est payée pour deux régimes : retraite et décès, la cotisation totale est de 22 % du salaire de base (1 150 000 VND), l'État (employeur) prendra en charge 443 milliards de VND par an, soit un taux de cotisation de 14 % ; les employés paieront 253 milliards de VND par an, soit un taux de cotisation de 8 %.

Depuis 2005, Hô-Chi-Minh-Ville et Da Nang appliquent une assurance sociale obligatoire pour les travailleurs à temps partiel au niveau de la commune, calculée sur la base d'un coefficient de 1,86 du salaire minimum général.

Selon QĐND

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