Le père qui a abusé de son fils de 10 ans est accusé de crimes supplémentaires

Viet Dung DNUM_BDZADZCABI 07:21

En plus des abus sur enfant, la police a déterminé que Nam avait également blessé ce garçon de 10 ans.

Le 12 mars, la police du district de Cau Giay, à Hanoï, a poursuivi Tran Hoai Nam (35 ans, résidant dans le district de Ba Dinh) pour le crime supplémentaire de blessures intentionnelles. Auparavant, Nam et sa seconde épouse, Pham Thi Tu Trinh (34 ans), avaient été poursuivis pour maltraitance d'enfant, conformément à l'article 151 du Code pénal de 1999. La victime était un garçon de 10 ans, le propre enfant de Nam.

Nam pratique la maltraitance des enfants.

Selon la police, le 5 décembre 2017, après avoir été battu par sa belle-mère pour avoir « infiltré du bœuf mijoté », le garçon a voulu s'enfuir de la maison où il vivait avec son père et sa belle-mère dans le quartier de Nghia Do, district de Cau Giay. À 17 h 00 le même jour, alors que son père et sa belle-mère sortaient, le garçon a pris 5 000 VND et a couru à la rencontre d'un chauffeur de moto-taxi à l'entrée de la ruelle pour lui demander de le conduire chez ses grands-parents. Le chauffeur lui a donné 2 000 VND supplémentaires et l'a conduit à l'arrêt de bus, l'aidant à prendre un bus pour la rue Hoang Hoa Tham.

Le lendemain, Nam fut arrêté pour enquête. Le père avoua avoir plié un cintre en aluminium en guise de fouet et forcé son fils à s'allonger face contre terre ou à se tenir debout contre un mur pour le « discipliner ». Parfois, Nam utilisait une louche pour frapper son fils à la tête et lui donnait des coups de pied, lui brisant les côtes.

Trinh a également admis que, dans l'après-midi du 5 décembre, elle avait frappé violemment l'enfant au visage avec des baguettes pour « vol ». Trinh a ajouté que si elle ne « disciplinait » pas le beau-fils de son mari, celui-ci serait encore plus sévère à son retour.

Après l'incident ci-dessus, le président du Comité populaire de Hanoi, Nguyen Duc Chung, a demandé aux autorités du district de Cau Giay d'enquêter d'urgence, de tirer rapidement une conclusion et de traiter strictement cet acte de maltraitance d'enfants.

Jusqu'à présent, les autorités ont déterminé qu'outre les sévices infligés à l'enfant, Nam avait également causé 22 % de blessures au garçon. La belle-mère a causé 3 % de blessures au garçon. La police a donc imposé une sanction administrative pour cet acte.

L'article 104, clause 2, du Code pénal de 1999 stipule : Commettre le crime de causer des blessures ou des dommages à la santé d'une autre personne avec un taux d'invalidité de 31 % à 60 % ou de 11 % à 30 %, mais tombant dans l'un des cas spécifiés aux points a à k, clause 1 du présent article, sera puni d'une peine d'emprisonnement de deux à sept ans.


Selon vnexpress.net
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