Voyager au sommet du ferry Ca Tun
(Baonghean.vn) - Au milieu des nuages, des vents violents et de la nature sauvage du pic Pha Ca Tun, à 2 462 m d'altitude, nous avons organisé une cérémonie de lever de drapeau et chanté ensemble le chant de marche. Ce voyage est devenu sacré !
Le premier ferry Ca Tun
Il y a de nombreuses années, les journalistes du journal du Parti Nghe An ont appris que la commune de Tri Le (Que Phong), à la frontière de la commune de Nam Giai, près de la frontière entre le Vietnam et le Laos, comptait de nombreuses hautes montagnes. Parmi elles, le pic Pu Hoat, qui perce le ciel. Au sommet de cette montagne, les quatre saisons (printemps, été, automne et hiver) sont toujours couvertes de nuages…
À chaque ascension vers Que Phong, les histoires sur le pic Pu Hoat nous parvenaient de plus en plus souvent. Cette montagne appartenait à la chaîne de Pha Ca Tun, culminant à plus de 2 400 m d'altitude, juste derrière le mont Pu Xai Lai Leng, dans la commune de Na Ngoi (Ky Son). Pour atteindre le pic, il fallait gravir les villages les plus hauts et les plus reculés, où vivent les Mong de la commune de Tri Le, comme Huoi Moi et Nam Tot… De là, il fallait gravir des pentes raides pendant des heures pour atteindre le sommet. Certains racontaient aussi que le pic Pha Ca Tun était composé de plusieurs hautes montagnes qui se succédaient, mais que deux monts rocheux s'élevaient jusqu'au ciel. La plus haute montagne est Pu Hoat, que les locaux appellent souvent « montagne mère » ; la plus basse, « montagne mère ». Parce que la montagne est haute, parce que la route est difficile et ardue, parce qu'elle appartient à la zone frontalière… Il y a encore des trafiquants de drogue dans les parages, si bien que peu de gens osent explorer le pic Pu Hoat.