Les cadeaux du président parviendront aux gens avant le Têt
Dans l'émission « Les gens demandent - le ministre répond » du soir du 25 janvier, le ministre du Travail, des Invalides de guerre et des Affaires sociales a affirmé que les cadeaux du président parviendront aux gens avant le Têt.
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La ministre Pham Thi Hai Chuyen dans l'émission « Les gens demandent - Les ministres répondent » le soir du 25 janvier. Capture d'écran |
J'aimerais transmettre au Ministre un sujet qui préoccupe des millions de ménages pauvres. Un citoyen a envoyé une lettre demandant : « L'attention portée par l'État aux ménages pauvres et aux ménages soumis à la politique pendant le Têt est très humaine. Mais en réalité, l'année dernière, nous avons dû attendre après le Têt pour recevoir des cadeaux de la part de la municipalité. J'aimerais demander au Ministre, cette année, comment la municipalité mettra en œuvre le programme de dons de l'État pour le Têt afin de bénéficier de l'attention de l'État avant le Têt ? »
Ministre Pham Thi Hai Chuyen :Jusqu'à présent, le Président a décidé d'offrir des cadeaux du Têt à ceux qui ont rendu des services méritoires à deux niveaux, 400 000 VND et 200 000 VND, selon le destinataire.
Sur cette base, nous guidons les localités et les communes dans la planification de leur allocation budgétaire dès le début de l'année. En janvier dernier, de nombreuses unités ont commencé à mettre en œuvre la distribution des cadeaux du Têt. Certaines localités, comme Hanoï, ont notamment réservé plus de 200 milliards de dongs pour préparer le Têt aux personnes ayant rendu des services méritoires.
Pour les pauvres, dans un avenir proche, le gouvernement demande aux localités d’examiner et de comprendre les sujets, de les classer et de veiller à ce que tout le monde ait le Têt.
En 2014, certaines localités ont tardé à distribuer les cadeaux du Têt. Cependant, cette année, les cadeaux du Président parviendront certainement à la population avant le Têt.
Concernant les deux subventions sur le riz (dont l'aide aux personnes célébrant le Têt et pendant la période de soudure), certaines localités peuvent réserver la subvention de soudure pour être distribuée après le Têt. De plus, certaines entreprises proposent également une aide à l'approche du Têt.
Forts de ces réflexions, nous avons exhorté les localités à être plus proactives. Une fois les cadeaux du Têt reçus, elles doivent impérativement les remettre à leurs compatriotes à temps pour le Têt.
Monsieur le Ministre, un groupe de travailleurs de Binh Duong a indiqué qu'après un an de travail, fin janvier, ils n'avaient toujours pas reçu d'informations de leur entreprise concernant les primes du Têt. Ils souhaiteraient demander au Ministre comment les autorités veillent à garantir des salaires et des primes adéquats aux travailleurs.
Ministre Pham Thi Hai Chuyen :Sous la responsabilité de l'Agence nationale de gestion des salaires, nous avons demandé aux zones industrielles d'analyser la situation des primes du Têt versées aux travailleurs. De plus, selon les rapports locaux, la prime du Têt a augmenté de 15 % cette année par rapport à l'année précédente (plus de 80 % des entreprises ont versé des primes du Nouvel An 2015 à leurs travailleurs, soit environ 1,5 million de VND par personne).
À l'occasion de la fête traditionnelle du Têt, la plupart des entreprises prévoient des primes. Cependant, de nombreuses entreprises n'ont pas encore fixé de montants précis.
Certaines entreprises pourraient également rencontrer des difficultés et ne pas encore verser de primes Têt. Nous continuerons d'examiner la situation et, dans l'esprit que si une entreprise ne verse pas de primes Têt, nous suggérons de signaler la situation aux autorités locales afin de soutenir les travailleurs.
Il convient de préciser que, selon la loi, la prime du Têt n'est pas obligatoire, mais incitative. Cependant, la plupart des entreprises, lorsqu'elles réussissent, ont un plan spécifique.
Un autre problème réside dans le fait que le contrat de l'entreprise avec ses employés comprend un système de rémunération et de primes. Les employés ont le droit de suivre la mise en œuvre de ce système, lequel est rendu public sur le lieu de travail. En l'absence d'information à ce stade, l'employé doit d'abord vérifier si une prime est prévue dans le contrat signé en début d'année et si elle est rendue publique sur le lieu de travail.
Si une réglementation existe mais n'est pas appliquée, il est nécessaire d'en informer le syndicat afin d'inciter l'entrepreneur à la mettre en œuvre. Si la réglementation est en vigueur depuis le début de l'année mais que l'entrepreneur ne l'a pas appliquée, il est nécessaire d'en informer le Département du Travail - Invalides et Affaires Sociales ou le Département du Travail - Invalides et Affaires Sociales du lieu d'implantation de l'entreprise, afin qu'une intervention soit possible, conformément à la réglementation de l'entreprise, concernant la question des salaires et des primes dans le contrat de travail.
Un autre problème est que, début décembre 2014, des femmes qui travaillaient comme domestiques dans des pays du Moyen-Orient ont signalé avoir été maltraitées dans leur pays d'accueil et avoir dû payer une somme d'argent pour pouvoir rompre leur contrat et rentrer chez elles. Monsieur le Ministre, comment le Ministère a-t-il traité ces plaintes jusqu'à présent ?
Ministre Pham Thi Hai Chuyen :Tout d'abord, je dois dire que le Moyen-Orient est un très bon marché. Nous y comptons environ 16 000 travailleurs, dont 4 000 employées de maison.
Au cours de la récente réflexion, nous avons vérifié et constaté qu'il existe un problème : dans les réglementations relatives à l'envoi de travailleurs à l'étranger, les entreprises doivent indiquer clairement ce marché du travail ; doivent informer clairement les travailleurs sur les coutumes et les pratiques du pays d'accueil et les réglementations « strictes » dans le contrat de travail entre le travailleur et l'employeur.
Le Moyen-Orient a ses propres spécificités et la maîtrise de l'arabe y est essentielle. Cependant, récemment, certaines entreprises ont envoyé des travailleurs ici, mais sans les préparer adéquatement à la situation, aux exigences du marché du travail, aux coutumes, aux conditions de vie et à la langue. Par conséquent, certaines femmes arrivées là-bas n'ont pas pu s'intégrer et sont rentrées chez elles par leurs propres moyens.
Conformément à la réglementation, les entreprises doivent envoyer leurs employés sur place afin de coordonner leurs activités avec l'ambassade pour protéger les droits des travailleurs en vertu du contrat. Récemment, en plus de remédier aux difficultés rencontrées par les travailleurs en raison de leur mauvaise compréhension du marché, de leur incapacité à s'intégrer et de leur obligation de retour, le représentant de la direction du travail du ministère et de l'ambassade a collaboré avec les entreprises pour résoudre les problèmes connexes.
En ce qui concerne la responsabilité du ministère, outre celle de permettre aux entreprises de fonctionner, nous avons inspecté et envisagé de suspendre un certain nombre d'entreprises qui ne respectent pas la réglementation.
Cher Ministre, pourriez-vous, pour la nouvelle année, nous parler de l'orientation des marchés d'exportation de main-d'œuvre afin que les gens le sachent ?
Ministre Pham Thi Hai Chuyen :En 2015, le marché de l'exportation de main-d'œuvre a affiché des signes positifs. Premièrement, outre la main-d'œuvre peu qualifiée, comme les aides-ménagères à Taïwan, en Malaisie et en Corée du Sud, nous avons exporté de la main-d'œuvre hautement qualifiée vers le Japon et l'Allemagne (infirmières, sages-femmes et certains métiers techniques). En 2014, nous avons exporté près de 20 000 travailleurs qualifiés et professionnels.
De plus, sur le marché thaïlandais, nous n'avons pas encore signé de contrat officiel pour protéger les droits des travailleurs, bien que de nombreux travailleurs des provinces frontalières y travaillent. Cette année, les deux gouvernements ont convenu de charger les agences compétentes des deux parties de signer un contrat officiel. Si cet objectif est atteint, l'objectif d'exporter 100 000 travailleurs en 2015 est très prometteur.
Selon chinhphu.vn