Règlement sur les critères applicables aux communes particulièrement défavorisées des zones côtières et insulaires
Le Premier ministre vient depromulguerCritères pour les communes particulièrement difficiles des zones côtières et insulaires pour la période 2016 - 2020.
Conformément à la réglementation, une commune particulièrement défavorisée en zone littorale et insulaire est une commune située en zone littorale et insulaire dont la limite est adjacente à la côte ou une commune sur un banc de sable, un îlot, une lagune, une presqu'île ou une île.
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Les communes côtières sont confrontées à de nombreuses difficultés pour construire de nouvelles zones rurales. |
Les communes particulièrement défavorisées des zones côtières et insulaires doivent répondre aux quatre critères suivants :
L'un est, avec un taux de ménages pauvres et quasi pauvres selon le recensement de la pauvreté de 2015 de 16 % ou plus (dont le taux de ménages pauvres est de 11 % ou plus) selon la norme de pauvreté multidimensionnelle appliquée pour la période 2016-2020.
Deux c'est, manquant (ou pas assez) de 3/7 ouvrages d'infrastructures pour accéder aux services sociaux de base, notamment :
- La commune n’a pas satisfait aux critères sanitaires nationaux tels que prescrits par le Ministère de la Santé ;
- Les installations des écoles maternelles, jardins d’enfants, écoles primaires et lycées répondant aux normes nationales sont inférieures à 60 % ;
- 40 % ou plus des villages ne disposent pas de salles de classe solides pour les crèches et les jardins d’enfants ;
- Il n’existe pas ou n’a pas été investi dans des centres culturels, sportifs et de divertissement pour les habitants de la commune ;
- 40 % ou plus des villages ne disposent pas de maisons d’activités villageoises ;
- Moins de 75 % des ménages ont accès à une eau hygiénique pour la vie quotidienne (sources d’eau hygiéniques : eau du robinet, eau de puits, eau de puits creusé avec parois de protection, eau de ruisseau protégée, eau de pluie stockée dans des réservoirs protégés) ;
- Moins de 60% des ménages disposent de toilettes hygiéniques selon les normes vietnamiennes prescrites par le ministère de la Santé.
Trois c'est, manquant (ou pas assez) de 2/4 des travaux d'infrastructures au service de la vie des gens :
- Le taux de kilomètres de routes communales et intercommunales bitumées ou bétonnées selon les normes techniques du Ministère des Transports est inférieur à 80%.
;- Le taux de kilomètres de routes villageoises et hameaux durcies et répondant aux normes techniques du Ministère des Transports est inférieur à 70% ;
- Le taux de kilomètres de routes principales intra-régionales qui sont durcies et praticables par les véhicules à moteur est inférieur à 50 % (dans le seul delta du Mékong, il est inférieur à 40 %) ;
- Le taux de kilomètres de canaux gérés par la commune qui sont solidifiés est inférieur à 70% (dans le seul delta du Mékong, il est inférieur à 40%).
Quatre est, manquant de plus de 50 % des infrastructures servant à la production agricole, halieutique et saline telles que : routes vers les ports de pêche ; remblais ; stations de pompage pour l'aquaculture, la production de sel, systèmes de drainage...
Selon Chinhphu.vn