Quels groupes de personnes devraient utiliser le vaccin contre la variole du singe ?

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La vaccination antivariolique peut offrir une protection contre la variole du singe. Utilisation du vaccin pour prévenir la variole du singe chez les groupes à haut risque.

La vaccination de masse contre la variole du singe est-elle nécessaire à l’heure actuelle ?

Selon les Lignes directrices pour le diagnostic, le traitement et la préventionvariole du singechez l'homme, émis par le ministère de la Santé sur l'utilisation des vaccins pour prévenir la variole du singe dans les groupes à haut risque.

Le Dr Nguyen Trung Cap, directeur adjoint de l'Hôpital national des maladies tropicales, a déclaré que les personnes vaccinées contre la variole sont protégées à au moins 85 % contre l'orthopoxvirose simienne. Cependant, la variole a été définitivement éliminée dans le monde depuis la fin des années 1970 et le début des années 1980, de sorte que très peu de pays disposent encore de réserves de vaccins antivarioliques.

Les chaînes de production sont fermées depuis longtemps, et seuls quelques pays les ont remises en marche. Il n'existe actuellement aucune indication d'une vaccination généralisée contre la variole du singe.

Sur ce point également, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a jusqu'à présent convenu de ne vacciner que les personnes à haut risque, comme le personnel de laboratoire, et de vacciner précocement les personnes dites F1 – en contact direct avec les patients – afin de prévenir la progression de la maladie. Si la maladie se développe, sa progression sera beaucoup plus modérée que chez les personnes non vaccinées.

Classification de la variole du singe

La variole du singe est une maladie infectieuse aiguë susceptible de provoquer des épidémies causées par le virus de la variole du singe. Originaire d'Afrique, elle se transmet des animaux aux humains et d'une personne à l'autre par contact direct avec des lésions cutanées, des fluides corporels, des rapports sexuels, des gouttelettes respiratoires, des objets provenant de personnes infectées, et de la mère à l'enfant.

La variole du singe présente comme principaux symptômes de la fièvre, une éruption cutanée ressemblant à des cloques et des ganglions lymphatiques périphériques enflés, qui peuvent entraîner de graves complications pouvant entraîner la mort.

Illustration

La maladie est divisée en 3 types :

Forme asymptomatique : les personnes infectées par le virus de la variole du singe ne présentent aucun symptôme clinique.

Léger : les symptômes disparaissent généralement après 2 à 4 semaines sans traitement spécifique.

Forme sévère : elle survient souvent dans les groupes à risque (femmes enceintes, personnes âgées, enfants, personnes atteintes de maladies sous-jacentes, immunodéficience, etc.) et peut entraîner le décès, généralement à partir de la deuxième semaine de la maladie. Les patients peuvent présenter des infections cutanées, accompagnées de symptômes tels qu'une fièvre prolongée, un liquide vésiculaire trouble ou des vésicules percées laissant échapper un liquide trouble.

Certains peuvent développer une pneumonie (toux, oppression thoracique, difficulté à respirer), une encéphalite (altération de la conscience, convulsions, confusion, coma) et une septicémie (fièvre prolongée, lésions organiques).

Transmission de la variole du singe

La variole du singe se transmet des animaux aux humains lorsque ces derniers sont en contact direct avec le sang, la viande ou les fluides corporels d’animaux infectés.

La maladie se transmet d’une personne à l’autre par contact direct étroit, par des plaies ouvertes, des liquides organiques, de grosses gouttelettes respiratoires et par contact avec des objets et des ustensiles contaminés par des agents pathogènes.

La transmission peut se produire à travers le placenta de la mère au fœtus ou par contact étroit pendant et après la naissance.

5 signes dangereux de la variole du singe

Ainsi, dans les postes de santé de la commune/du quartier et du district, les cas asymptomatiques et les cas bénins présentant des symptômes courants de la maladie seront traités.

Les niveaux provincial et central recevront les cas graves ou à risque de le devenir (nouveau-nés, personnes immunodéprimées, personnes âgées, maladies sous-jacentes, femmes enceintes) et les cas présentant des complications graves.

Signes dangereux de la maladie qui doivent être surveillés et pris en compte pour une orientation vers un centre de traitement :

Vision réduite.

Diminution de la conscience, coma, convulsions.

Insuffisance respiratoire.

Saignement, diminution du débit urinaire.

Signes de septicémie et de choc septique.

Selon suckhoedoisong.vn
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