Qui devrait utiliser le vaccin contre la variole du singe ?

Paix August 1, 2022 15:29

La vaccination antivariolique pourrait protéger contre la variole du singe. Utilisation du vaccin pour prévenir la variole du singe chez les groupes à haut risque.

La vaccination de masse contre la variole du singe est-elle nécessaire à l’heure actuelle ?

Conformément aux Lignes directrices pour le diagnostic, le traitement et la préventionvariole du singeChez l'homme, le ministère de la Santé a délivré un vaccin pour prévenir la variole du singe dans les groupes à haut risque.

Le Dr Nguyen Trung Cap, directeur adjoint de l'Hôpital national des maladies tropicales, a déclaré que les personnes vaccinées contre la variole bénéficiaient d'une protection d'au moins 85 % contre l'orthopoxvirose simienne. Cependant, la variole ayant été définitivement éliminée à la fin des années 1970 et au début des années 1980, très peu de pays disposent encore de réserves de vaccins antivarioliques.

Les chaînes de production sont à l'arrêt depuis longtemps, et seuls quelques pays les ont redémarrées. Il n'existe actuellement aucune indication d'une vaccination généralisée contre la variole du singe.

À ce sujet également, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a jusqu'à présent convenu de ne vacciner que les personnes à haut risque, comme le personnel de laboratoire, et de vacciner précocement les personnes dites F1, en contact direct avec les patients, afin de prévenir la progression de la maladie. Si la maladie se développe, sa progression sera beaucoup plus modérée que chez les personnes non vaccinées.

Classification du statut de la variole du singe

La variole du singe est une maladie infectieuse aiguë, potentiellement épidémique, causée par le virus de la variole du singe. Originaire d'Afrique, elle se transmet des animaux aux humains et d'une personne à l'autre par contact direct avec des lésions cutanées, des fluides corporels, des rapports sexuels, des gouttelettes respiratoires, des objets provenant de personnes infectées, et de la mère à l'enfant.

La variole du singe présente des symptômes principaux de fièvre, d'éruption cutanée ressemblant à des cloques et de ganglions lymphatiques périphériques enflés et peut entraîner de graves complications pouvant entraîner la mort.

Photo d'illustration

La maladie est divisée en 3 formes :

Forme asymptomatique : Les personnes infectées par le virus de la variole du singe ne présentent aucun symptôme clinique.

Léger : les symptômes disparaissent généralement après 2 à 4 semaines sans traitement spécifique.

Forme sévère : elle survient souvent dans les groupes à risque (femmes enceintes, personnes âgées, enfants, personnes atteintes de maladies sous-jacentes, immunodéficience, etc.) et peut entraîner le décès, généralement à partir de la deuxième semaine de la maladie. Le patient peut présenter des infections cutanées, accompagnées de fièvre prolongée, de liquide vésiculaire trouble ou de cloques percées laissant échapper un liquide trouble.

Certains peuvent développer une pneumonie (toux, oppression thoracique, difficulté à respirer), une encéphalite (altération de la conscience, convulsions, confusion, coma) et une septicémie (fièvre prolongée, lésions organiques).

Transmission de la variole du singe

La variole du singe se transmet des animaux aux humains lorsque ces derniers sont en contact direct avec le sang, la viande ou les fluides corporels d’animaux infectés.

La maladie se transmet d’une personne à l’autre par contact direct étroit, par des plaies ouvertes, des liquides organiques, de grosses gouttelettes respiratoires et par contact avec des objets et des ustensiles contaminés par des agents pathogènes.

La transmission peut se produire à travers le placenta de la mère au fœtus ou par contact étroit pendant et après la naissance.

5 signes dangereux de la variole du singe

Ainsi, dans les postes de santé des communes/quartiers et des districts, les cas asymptomatiques et les cas bénins présentant des symptômes courants de la maladie seront traités.

Les niveaux provincial et central recevront les cas graves ou à risque d’aggravation (nouveau-nés, personnes immunodéprimées, personnes âgées, maladies sous-jacentes, femmes enceintes) et les cas présentant des complications graves.

Signes dangereux de la maladie qui doivent être surveillés et pris en compte pour une orientation vers un traitement :

Vision réduite.

Diminution de la conscience, coma, convulsions.

Insuffisance respiratoire.

Saignement, diminution du débit urinaire.

Signes de septicémie et de choc septique.

Selon suckhoedoisong.vn
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