Résidence temporaire de 2 ans avant l'enregistrement permanent
Ce règlement s'applique aux sujets s'inscrivant pour la résidence permanente dans les villes gérées par le centre.
La loi révisée sur le séjour vient d'être adoptée par l'Assemblée nationale à la majorité des voix. Ainsi, à compter du 1er janvier 2014, les citoyens qui « ont un séjour légal ; en cas d'enregistrement de résidence permanente dans un district ou une ville relevant d'une ville de compétence centrale, doivent y avoir résidé temporairement pendant un an ou plus ; en cas d'enregistrement de résidence permanente dans un district ou une ville relevant d'une ville de compétence centrale, doivent y avoir résidé temporairement pendant deux ans ou plus » peuvent obtenir un permis de résidence permanente dans une ville de compétence centrale.
La loi autorise également 6 types de sujets que la personne possédant un livret d'enregistrement de ménage accepte d'inscrire dans son livret d'enregistrement de ménage : Être mobilisé ou recruté pour travailler dans une agence ou une organisation recevant un salaire du budget de l'État ou dans le cadre d'un contrat à durée indéterminée et avoir un logement légal ; Être précédemment inscrit pour la résidence permanente dans une ville gérée par le centre, et revenir maintenant dans cette ville pour vivre dans son logement légal ; En cas d'inscription pour la résidence permanente dans un logement légal loué, emprunté ou hébergé chez un particulier ou une organisation (avec conditions attachées).
Lors des discussions en groupes et en salle, de nombreux députés de l'Assemblée nationale ont approuvé la réglementation visant à prolonger la durée de séjour temporaire d'un an à deux ans pour les demandes d'enregistrement de résidence permanente dans les districts des villes relevant de l'administration centrale. Certains ont suggéré de conserver la loi actuelle sur le séjour. D'autres ont suggéré de supprimer la réglementation relative à la durée de séjour temporaire afin d'éviter des désagréments pour la population.
La Commission permanente de l'Assemblée nationale estime que la loi actuelle sur le séjour stipule que les citoyens ayant séjourné temporairement dans la ville concernée pendant un an ou plus peuvent s'inscrire au titre de la résidence permanente. En réalité, la durée de séjour temporaire d'un an est trop courte. Par ailleurs, la croissance démographique mécanique croissante dans les villes centrales a entraîné un déséquilibre dans la répartition de la population et la sécurité sociale, créant une forte pression sur les questions sociales connexes et entraînant des difficultés de gestion de l'ordre social, de la sécurité, des infrastructures et des services publics. Par conséquent, la Commission permanente de l'Assemblée nationale estime que la fixation d'une période de séjour temporaire de deux ans pour l'enregistrement de la résidence permanente dans un arrondissement d'une ville centrale est appropriée. Cette réglementation contribue à garantir les droits et intérêts légitimes des personnes résidant dans ces villes, à ralentir le rythme de la croissance démographique mécanique dans le centre-ville des villes centrales et à alléger la pression sur les questions sociales et les infrastructures des localités.
Par ailleurs, la Commission permanente de l'Assemblée nationale a constaté qu'outre le contenu de cet amendement, plusieurs points devaient être approfondis et évalués afin de modifier en profondeur la loi sur le séjour pour répondre aux exigences de la gestion du séjour et garantir le droit de séjour des citoyens. Il s'agit notamment de solutions globales aux problèmes socio-économiques, de mesures relatives à la gestion de la population, à la sécurité, à l'ordre et à la sécurité sociale, notamment après la signature par le Premier ministre de la décision n° 896/QD-TTg du 8 juin 2013 approuvant le projet global de simplification des procédures administratives, des documents d'identité et des bases de données relatives à la gestion de la population pour la période 2013-2020, y compris de nombreuses questions liées à la gestion du séjour des citoyens. Cependant, pour répondre aux exigences immédiates, ce projet de loi se concentre principalement sur plusieurs questions importantes et complexes, telles que l'immigration spontanée vers les centres-villes, qui entraîne une surcharge des infrastructures, la sécurité sociale et la gestion de l'ordre et de la sécurité sociaux.
Selon (vov.vn) - LT