La Première ministre Yingluck accusée de « trahison »
Des manifestants anti-gouvernementaux en Thaïlande, ignorant l'appel de la Première ministre Yingluck Shinawatra à des élections anticipées, ont déclaré qu'elle devrait être jugée pour trahison et que toute sa puissante famille devrait être soumise à des pressions jusqu'à ce qu'elle quitte la politique, a rapporté Reuters.
Des manifestants anti-gouvernementaux en Thaïlande, ignorant l'appel de la Première ministre Yingluck Shinawatra à des élections anticipées, ont déclaré qu'elle devrait être jugée pour trahison et que toute sa puissante famille devrait être soumise à des pressions jusqu'à ce qu'elle quitte la politique, a rapporté Reuters.
Plus tôt, dans la nuit du 9 décembre, le leader de la manifestation, Suthep Thaugsuban, avait donné à Mme Yingluck un délai de 24 heures pour démissionner. Cependant, après l'expiration de ce délai, le 10 décembre au soir, M. Suthep a déclaré que la police devait arrêter Mme Yingluck.
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| Yingluck Shinawatra, Premier ministre thaïlandais. (Source : AFP/VNA) |
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M. Suthep a déclaré que le gouvernement de Mme Yingluck avait violé la constitution de plusieurs manières.
Pendant ce temps, les médias thaïlandais ont rapporté que le commandant de l'armée Prayuth Chan-ocha avait rencontré M. Suthep dans une base militaire, mais un porte-parole de la force de protestation a démenti cette information.
Selon VNA
