Révélation du complot visant à assassiner Trump le jour de son investiture

Des terroristes ont planifié une attaque contre Donald Trump le jour de son investiture en tant que président des États-Unis, le 20 janvier 2017.

Selon le Daily Star, les forces terroristes vivant dans les zones de guerre au Moyen-Orient appellent à des attaques à l'occasion de l'investiture du président élu Donald Trump.

Le milliardaire Donald Trump prêtera serment en tant que 45e président des États-Unis le 20 janvier 2017.

L’événement devrait attirer plus d’un million de participants, dont d’anciens présidents et de hauts fonctionnaires du gouvernement.

Dans le magazine « Inspire » du groupe terroriste Al-Qaïda, le groupe a appelé ses partisans à utiliser des drones transportant des explosifs pour attaquer et détruire des « cibles » dans la zone de l'événement.

Une autre publication de l'organisation indique que les djihadistes devraient privilégier les zones « à forte affluence, comme les événements sportifs rassemblant des centaines de milliers de personnes, les campagnes électorales, les festivals ou les zones très fréquentées. Il est important d'attaquer les personnes, pas les bâtiments ».

L'article du magazine ajoute que Washington DC est la cible symbolique numéro un.

Parallèlement à cela, les militants de l’EI ont également annoncé leur intention d’assassiner le 45e président des États-Unis, Donald Trump.

Dans la publication de l'EI « Rumiyeh », cette force a appelé ses loyalistes à cibler l'investiture de M. Trump.

Le groupe a « conseillé » de viser d'« excellentes cibles », comme une attaque de masse de type « Nice ».

L'été dernier, 86 personnes ont été tuées lorsqu'un camion a foncé sur la foule qui regardait le feu d'artifice du 14 juillet à Nice.

Il y a quelques semaines à peine, l’EI a publié une vidéo appelant à l’assassinat de Donald Trump et d’une série de dirigeants mondiaux.

On s'attend à ce que lors de l'investiture de M. Trump le 20 janvier, environ 7 500 membres de la Garde nationale et 3 000 policiers de différents États créent un périmètre pour protéger l'événement.

En plus de se protéger contre les attaques terroristes, les forces de sécurité doivent également gérer les manifestations impliquant environ 75 000 personnes, visant à paralyser la ville.

Selon VNN