Je regrette d’avoir quitté ma femme et mes enfants pour être célibataire.
Je souhaite vraiment une famille chaleureuse, avec une bonne épouse et de bons enfants. Ma femme a un autre mari, et les enfants sont gâtés et leurs parents s'en moquent.
À 30 ans, j'étais beau, j'avais un bon travail, des parents aisés, j'étais marié depuis 8 ans, ma fille avait 5 ans et mon fils 3 ans. J'aspirais à la liberté. Je m'ennuyais avec ma femme, car chaque jour elle se foutait dans les affaires des enfants pour joindre les deux bouts. J'ai eu une liaison et j'ai divorcé, et ma femme a élevé les enfants. J'étais libre d'aller boire un verre avec des amis tous les jours, d'aller au café avec des filles aux longues jambes quand je voulais, de sortir avec de jolies filles au travail sans que personne ne m'en empêche, de coucher avec une fille pendant quelques mois, puis de passer à une autre, parfois deux, trois filles, occupé chaque jour par des fêtes, de l'alcool et des festivités. Tout ce qui était secret me semblait intéressant, manger était délicieux, jouer de temps en temps était amusant, mais tout laisser sortir était ennuyeux.
J'ai maintenant 42 ans, j'ai tout essayé, je suis fatigué et ennuyé, toujours célibataire, je me lasse de tout le monde au bout de quelques mois, je n'ai aucune obligation. Parfois, j'ai envie d'épouser une inconnue, mais les femmes bien qui valent quelque chose vivent heureuses avec leur mari et leurs enfants. Maintenant, j'aspire vraiment à une famille, à une bonne épouse qui rentre à la maison avec des repas chauds et entouré de bons enfants. Ma femme a un autre mari, les enfants sont gâtés et ne peuvent pas être éduqués car leurs parents ne s'occupent plus d'eux depuis longtemps.
J'ai très peur chaque soir quand je rentre seule à la maison, dans une maison déserte. La cuisine est froide et je mange au restaurant tous les jours, ce qui est ennuyeux. « La maison », c'est là où je rentre après une journée de travail fatigante. Mon partenaire est la personne en qui j'ai confiance et qui partage mes joies et mes peines, c'est ça le bonheur.
Selon VNE