Le président Trump menace de détruire l'Iran ; l'Indonésie renforce sa sécurité
(Baonghean.vn) - Le nouveau président ukrainien Zelensky a annoncé la dissolution du Parlement ; le président Trump a menacé de détruire l'Iran ; le gouvernement syrien a nié les allégations d'attaque aux armes chimiques.
Le gouvernement syrien nie toute attaque à l'arme chimique
Province de Lattaquié en SyriePhoto : SANA. |
L'agence de presse russe Tass a rapporté le 20 mai que le ministère syrien des Affaires étrangères a récemment nié les allégations selon lesquelles l'armée du pays du Moyen-Orient aurait utilisé des armes chimiques dans la ville de Kobani, dans le nord de la province de Lattaquié.
Dans un communiqué, le ministère syrien des Affaires étrangères a affirmé que les accusations selon lesquelles le gouvernement syrien aurait utilisé des gaz toxiques chimiques étaient des informations fabriquées de toutes pièces et sans fondement. Le gouvernement syrien n'a jamais utilisé et n'utilisera jamais de gaz toxiques chimiques, car cela est contraire aux réglementations internationales et moralement répréhensible.
Le président Trump menace de détruire l'Iran, le risque de conflit augmente
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Porte-avions de l'US Navy USS Abraham Lincoln. Photo :Le Temps de la Marine. |
La menace du président américain Donald Trump de détruire l'Iran a suscité des inquiétudes quant à la possibilité d'un conflit entre les deux pays dans un contexte d'escalade des tensions entre Washington et Téhéran.
Sur sa page Twitter personnelle, le président Trump a écrit : « Si l’Iran veut entrer en guerre, ce sera la fin officielle de l’Iran. » Il a averti Téhéran de « ne plus jamais menacer les États-Unis. »
Cependant, l'Iran a déclaré que les actions américaines n'étaient qu'une « guerre psychologique » et un « jeu politique ».
L'Indonésie renforce sa sécurité avant l'annonce des résultats des élections
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La police antiterroriste participe à un exercice de sécurité à Jakarta, en Indonésie, le 14 avril 2019. Photo : AFP/VNA |
Pour assurer la sécurité de l'annonce des résultats de l'élection présidentielle, prévue le 22 mai, l'Indonésie a mobilisé et placé 32 000 policiers et soldats en état d'alerte dans la capitale Jakarta.
Des policiers armés et des chiens renifleurs ont été déployés devant le siège de la Commission électorale générale indonésienne (KPU) dans le centre de Jakarta.
Auparavant, les autorités indonésiennes avaient arrêté des dizaines de suspects terroristes liés à l'organisation autoproclamée « État islamique » (EI), dont certains prévoyaient de faire exploser une bombe lors d'un événement politique.
Parmi les suspects arrêtés figurent de nombreux experts en fabrication de bombes et ayant combattu aux côtés de l'EI en Syrie, ainsi que des membres du réseau Jemaah Anshurat Daulah (JAD) - un groupe d'hommes armés extrémistes fidèles à l'EI.
Les procureurs suédois demandent officiellement l'arrestation d'Assange
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Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, arrive au tribunal de Londres, au Royaume-Uni, le 1er mai. Photo : AFP/TTXVN |
Le 20 mai, le parquet suédois a officiellement requis l'arrestation du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, accusé d'agression sexuelle. Si cette demande est approuvée, il s'agirait de la première étape du processus d'extradition de M. Assange vers la Suède pour y être jugé.
Dans un communiqué, la procureure générale adjointe de Suède, Eva-Marie Persson, a confirmé qu'elle avait demandé au tribunal régional d'Uppsala d'arrêter M. Assange pour agression sexuelle.
Si le tribunal approuve, le responsable a déclaré qu'un mandat d'arrêt européen serait émis contre M. Assange. Cette décision fait suite à l'annonce, le 13 mai, par le parquet suédois de la réouverture d'une enquête de 2010 sur le fondateur de WikiLeaks pour des allégations d'agression sexuelle, qui avait été abandonnée en 2017.