La Commission permanente de l’Assemblée nationale a examiné le projet de loi foncière révisée.

September 18, 2012 07:10

Le projet de loi foncière (modifiée) comprend 14 chapitres et 190 articles, soit une augmentation de 6 chapitres et 44 articles par rapport à la loi foncière actuelle.

Le 17 septembre, la Commission permanente de l'Assemblée nationale a poursuivi sa 11e session, donnant son avis sur le projet de loi foncière (amendée). Le président de l'Assemblée nationale, Nguyen Sinh Hung, a assisté à la réunion.

Le projet de loi foncière (modifié) comprend 14 chapitres et 190 articles, soit une augmentation de 6 chapitres et 44 articles par rapport à la loi foncière actuelle. Il prévoit la mise en place de plans d'aménagement du territoire aux trois niveaux : national, provincial et de district, afin de pallier le manque de cohérence et de synchronisation de la planification entre les provinces et les régions, tout en réduisant les coûts et les délais de planification, notamment au niveau communal.



La Commission permanente de l’Assemblée nationale a donné son avis sur le projet de loi foncière (amendé).

Cependant, selon M. Phung Quoc Hien, président de la Commission des finances et du budget, l'aménagement du territoire à l'échelle communale est une planification détaillée visant à la gestion du territoire. Par conséquent, une planification limitée à trois niveaux, comme le prévoit le projet de loi, conduira facilement à une situation de planification « suspendue », entraînant un gaspillage des ressources foncières et freinant le développement.

La majorité des membres de la Commission permanente de l'Assemblée nationale ont approuvé la réglementation fixant la durée d'attribution des terres agricoles aux ménages et aux particuliers à 50 ans, qu'il s'agisse de cultures annuelles ou pérennes. L'allongement de la durée d'utilisation des terres à 50 ans permettra de combler les inégalités entre les agriculteurs et les entreprises, de renforcer l'attachement des agriculteurs à leurs terres, de les inciter à investir dans la production et d'améliorer l'efficacité de l'utilisation des terres.

Approuvant le transfert des droits d'usage des terres aux ménages, le vice-président de l'Assemblée nationale, Uong Chu Luu, a déclaré qu'il ne devrait y avoir aucune limite à l'utilisation des terres, mais que seules les terres devraient être louées à ceux qui en ont besoin. « Je suis d'accord avec cela, car la production agricole actuelle reste une production à petite échelle et dispersée, la limite d'utilisation des terres étant très limitée. Nous n'avons pas encore permis à la politique d'accumulation des terres de favoriser la production à grande échelle. De fait, nous avons mis en place de grandes exploitations agricoles dans de nombreuses localités. Bien sûr, le mécanisme est différent, mais l'efficacité de la production à grande échelle, grâce à l'application des sciences et des technologies, est manifeste. Ici, certaines personnes ont les conditions pour produire à grande échelle, mais la superficie est trop limitée. Je suis donc favorable à la politique d'accumulation des terres et à l'extension de la limite d'utilisation des terres. Bien sûr, nous devons ici garantir les droits des agriculteurs. »

Concernant les prix des terrains, Mme Nguyen Thi Nuong, cheffe de la Commission des affaires de la délégation, a déclaré : « Actuellement, nous réglementons de nombreux types de prix : prix d’État, prix du marché, prix des investisseurs… » Cependant, la récupération des terres à des fins de développement économique n’est pas spécifiquement réglementée par la Constitution. Mme Nuong a déclaré que cette question créait des conflits majeurs, et qu’il était donc nécessaire d’instaurer une réglementation plus stricte concernant les motifs de récupération des terres à des fins de développement économique.

En conclusion de la séance, la vice-présidente de l'Assemblée nationale, Nguyen Thi Kim Ngan, a demandé à l'agence de rédaction de saisir de manière proactive la politique d'amendement de la Constitution de 1992 pour concevoir les dispositions du projet de loi conformément à la Constitution (amendée) et de maintenir les progrès et le temps nécessaires à l'adoption du projet de loi, répondant aux exigences et aux aspirations des électeurs de tout le pays.

Lors de la séance de travail de cet après-midi, la Commission permanente de l'Assemblée nationale a rendu son avis sur le projet de loi sur l'édition (modifié). Aujourd'hui, elle a poursuivi sa réunion en formulant son avis sur la mise en œuvre des politiques et des lois relatives au traitement des plaintes et des dénonciations des citoyens concernant les décisions administratives foncières, ainsi que sur le projet de loi anticorruption (modifié).


Selon (vov.vn)-LT

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