En marge : « Un survêtement ? »
(Baonghean.vn) - Marqué de trop près par un joueur adverse, un joueur du club pour enfants de Thanh Chuong a dû crier : « Lâche prise et respire ! Tu sens la sueur ? »
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Un ballon dans le match entre le Thanh Chuong FC et le Do Luong FC. Photo de : Thanh Cuong |
Avec la tactique de rester proche, de presser et de marquer étroitement, les joueurs de Do Luong Children's ont toujours suivi, 1 contre 1. Il y a eu des moments où Do Luong Children's a commis une faute, les jeunes joueurs de Thanh Chuong ont obtenu un coup franc, donc le marquage est devenu encore plus "intense", à plusieurs reprises, les joueurs de Do Luong ont serré dans leurs bras les joueurs de l'équipe adverse, forçant l'arbitre à les avertir.
Marqué de trop près par l'adversaire, un joueur du club pour enfants de Thanh Chuong a dû crier : « Lâche prise et respire ! Tu sens la sueur ? »
Noir pour éloigner les termites
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Le joueur Nguyen Dac Quan (au milieu) de l'école pour enfants Do Luong. Photo de : Thanh Phuc |
Dans l'équipe des enfants de Do Luong, il y a un joueur portant le maillot numéro 9, Nguyen Dac Quan, dont la peau est aussi noire que celle d'un Africain. Ses coéquipiers plaisantent souvent avec Quan : « Yeux asiatiques, joues africaines », « Plus noir que blanc », « Se baigner dans la rivière Lam, mais sa peau est aussi noire que se baigner dans le Gange »…
En réponse à ces blagues de ses coéquipiers, Dac Quan a répondu avec humour : « Noir pour éviter les termites ! »
Ventilateur en carton à propulsion humaine
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Des éventails en carton actionnés par la force humaine. Photo : Thanh Phuc |
Pendant les pauses ou les rares temps morts, les soignants s'occupent des jeunes joueurs. Ils leur donnent de l'eau, les essuient et les laissent sécher leur sueur pour reprendre des forces avant le match suivant. Les enseignants utilisent tous les objets à leur disposition pour les éventer.
On apportait des éventails en papier, on agitait des serviettes, on divisait des récipients d'eau en éventails, on les transformait en « cinq ou sept »… Les entraîneurs s'intéressaient à la tactique, les enfants à l'apprentissage, et par temps chaud, il y avait des éventails en carton avec des moteurs fonctionnant à la force humaine…