La différence entre le Têt d'autrefois et le Têt d'aujourd'hui en images

Autrefois, pour acheter des produits du Têt, il fallait des coupons et faire la queue. Aujourd'hui, les achats du Têt se font principalement dans les magasins et les supermarchés, ce qui est beaucoup plus pratique et offre un choix beaucoup plus complet qu'auparavant.

Le vieux marché aux fleurs du Têt était toujours aussi animé que celui d'aujourd'hui.

Autrefois, à l'approche du Têt, on s'affairait à préparer des gâteaux Chung et des gâteaux Têt Chung. Aujourd'hui, il suffit de quelques minutes sur internet ou d'un coup de fil pour se faire livrer des gâteaux à domicile. On peut aussi, pour plus de choix, se rendre au marché ou au supermarché, où l'on trouve une grande variété de gâteaux.

Les confiseries et confitures du Têt d'autrefois semblaient si simples. Aujourd'hui, dans les magasins, les consommateurs ont accès à une multitude de confiseries et confitures pour le Têt, ce qui leur permet de choisir librement.

Images de pots de fleurs et de plantes ornementales en vente pendant le Têt, d'hier et d'aujourd'hui.

Le coin de rue où l'on vendait autrefois des fleurs de pêcher pour le Têt et le marché aux fleurs de pêcher d'aujourd'hui ne sont plus très différents.

Le plateau du Têt d'autrefois était simple mais comportait suffisamment de plats, tout comme celui d'aujourd'hui.

Autrefois, le lettré portait un turban, un ao dai sombre, un pantalon blanc et une longue barbe argentée. D'une grande dignité, il était assis sur une natte, en train de broyer de l'encre sur le trottoir. De nos jours, le lettré se rencontre à tous les âges ; même les jeunes lettrés portent l'ao dai et le turban, contribuant ainsi à l'image traditionnelle du lettré confucéen.

Les feux d'artifice attiraient toujours l'attention de nombreux adultes, et surtout des enfants à cette époque. Aujourd'hui, à l'approche du Têt et du printemps, petits et grands peuvent admirer le magnifique spectacle pyrotechnique du Nouvel An.

Les rues étaient autrefois très désertes pendant les vacances du Têt, mais aujourd'hui elles sont beaucoup plus fréquentées.

La coutume d'offrir de l'argent porte-bonheur à l'occasion du Nouvel An existe depuis l'Antiquité et perdure encore aujourd'hui. Toutefois, la manière d'offrir et de recevoir des cadeaux a quelque peu évolué.

Autrefois, sortir signifiait aller souhaiter la bonne année à nos proches. Lorsque nos voisins venaient nous présenter leurs vœux, nous devions leur rendre la pareille. Nous nous rendions visite les uns après les autres, et la cérémonie s'arrêtait là ! De nos jours, on nous souhaite la bonne année par SMS, téléphone, courriel, Zalo, Facebook, etc., et on s'accorde quelques jours de congé pour une escapade printanière ou des vacances.

Autrefois, le Têt était considéré comme une occasion de retrouvailles familiales. On allait souvent présenter ses vœux de Nouvel An et rendre visite à ses proches pour partager un repas. De nos jours, les voyages de printemps sont de plus en plus populaires. Les familles profitent des vacances du Têt pour voyager.