La gratuité des cours : une décision d'avenir
La décision du Politburo d'exempter les frais de scolarité des étudiants est un signe positif, montrant que l'économie du pays a fait de grands progrès, dignes d'être enregistrés dans l'histoire du secteur de l'éducation et de toute la société, affirmant que l'éducation et la formation sont la politique nationale suprême dans l'esprit de la Résolution 2 du 8e Comité central.
Tout citoyen a le droit d’accéder à l’éducation.
Exonération des frais de scolaritéAfin que tous les citoyens puissent accéder à l'éducation sans barrières financières, nous aidons les familles défavorisées à réduire les inégalités sociales et à élargir les possibilités d'apprentissage pour tous. Nous accordons une attention particulière aux ressources humaines, en créant un vivier de citoyens capables de contribuer à la société et en faisant preuve d'une vision humaine en investissant dans l'avenir de la société. L'État met l'accent sur le bien-être social, l'amélioration de la qualité de vie des citoyens et l'encouragement de l'investissement dans l'éducation, facteur fondamental de développement de ressources humaines de qualité, répondant ainsi aux besoins d'un développement durable de la société.

L'éducation n'est plus un privilège réservé aux riches, mais un droit pour toutes les classes de la société. Les élèves se concentrent sur leurs études sans se soucier des problèmes financiers, allégeant ainsi le fardeau des familles et suscitant la motivation nécessaire pour développer leurs capacités personnelles sans être affectés par des facteurs externes. Une éducation complète des enfants permet également à la société de réduire les injustices et d'améliorer le niveau intellectuel de la population, de créer un environnement d'apprentissage équitable, de réduire l'écart entre riches et pauvres et de promouvoir le développement durable du pays.
Parallèlement à la circulaire 29 sur le renforcement de la gestion des cours et apprentissages supplémentaires, l'exonération des frais de scolarité permet aux parents de réduire considérablement leur charge financière, notamment pour les familles nombreuses en difficulté. Les familles concernées peuvent envoyer leurs enfants dans des écoles prestigieuses, suivre des cours complémentaires ou étudier à l'étranger dans des pays développés où l'enseignement est supérieur. Ce n'est qu'une minorité, toutes les familles ne bénéficient pas de telles conditions. En effet, ces dernières années, le nombre d'élèves qui abandonnent l'école est dû à de nombreuses raisons, principalement des difficultés financières. Réduire la charge financière est la première étape pour améliorer la situation des élèves et construire un avenir meilleur. Lorsque les parents ne se soucient plus des frais de scolarité, ils peuvent se concentrer davantage sur d'autres besoins éducatifs pour leurs enfants, comme les livres, le matériel pédagogique ou les formations professionnelles. Cela crée une égalité d'accès à l'éducation et permet aux élèves de s'épanouir pleinement. Les élèves ne se sentent pas gênés lorsque les enseignants leur rappellent de payer les frais de scolarité, et les parents n'ont pas à se précipiter pour les payer pour leurs enfants.
Lorsque les étudiants n'ont plus à se soucier du coût de l'éducation, ils peuvent se concentrer davantage sur l'apprentissage et le développement de leurs compétences. Les élèves issus de familles défavorisées bénéficient des mêmes opportunités d'apprentissage que les autres élèves, contribuant ainsi à réduire les inégalités sociales. Les élèves talentueux mais financièrement défavorisés profitent pleinement des opportunités d'apprentissage et de développement, réduisent leur stress psychologique, améliorent leur motivation à apprendre, réduisent leur anxiété et favorisent l'assimilation des connaissances. Les familles peuvent investir dans des cours supplémentaires, des formations professionnelles ou d'autres opportunités de développement pour leurs enfants, créant ainsi une dynamique positive pour leur avenir. La gratuité scolaire contribue à créer une société plus juste, où chacun a la possibilité de bénéficier d'une éducation reconnue par la loi sur l'éducation de 2019. Cela peut réduire les inégalités entre riches et pauvres, aider les personnes issues de familles défavorisées à s'épanouir et réduire les discriminations sociales. Lorsque les citoyens ont accès à l'éducation sans obstacles financiers, la société dispose d'une main-d'œuvre diversifiée et qualifiée, dotée d'un niveau d'éducation élevé, ce qui favorise le développement économique en formant une main-d'œuvre plus qualifiée, créative et performante.
La grande politique, pleine d'humanité, de sens et de pragmatisme, du Parti et de l'État, a recueilli le consensus de toutes les classes de la société. Écoles, enseignants et élèves ont manifesté un enthousiasme et une joie immenses lors de sa mise en œuvre. Tous les enfants sont parmi les plus pauvres et ont donc besoin d'accéder à une éducation gratuite. L'éducation est gratuite grâce aux contributions des parents, ce qui…personne n'est laissé pour compte".
L'éducation gratuite, mais pas gratuite

Il ne faut cependant pas confondre les deux : la gratuité scolaire n'est pas synonyme de gratuité de l'éducation. Certes, les frais de scolarité sont exonérés, mais l'école impose toujours de nombreux frais, plus ou moins raisonnables. En effet, ces dernières années, certains établissements scolaires ont imposé aux élèves des frais importants pour l'eau potable, l'assainissement, le matériel pédagogique, l'apprentissage des compétences de vie, l'enrichissement de l'anglais, les bonnes manières… autant de frais qui pèsent sur les parents. Les enfants sont exonérés de frais de scolarité, mais de nombreux autres frais scolaires ne le sont toujours pas, ce qui laisse planer le doute. Outre les quelques millions, voire centaines de milliers de dongs, exonérés, les parents doivent encore débourser des millions, voire des millions, pour financer l'éducation de leurs enfants.
L'exonération des frais de scolarité posera certaines difficultés aux écoles. Ces frais constituent souvent l'une de leurs principales sources de revenus. Les établissements doivent trouver des sources de financement alternatives pour maintenir leurs activités : ils couvrent les salaires des enseignants, l'achat d'équipements et l'organisation des activités pédagogiques. Sans budget suffisant, les écoles peuvent rencontrer des difficultés pour maintenir la qualité de l'enseignement, notamment en raison du manque d'enseignants, de matériel pédagogique, d'équipements ou d'activités extrascolaires pour soutenir les élèves. L'exonération des frais de scolarité empêche de nombreuses unités de disposer des ressources nécessaires pour investir dans la rénovation, la modernisation des installations, la construction de nouvelles salles de classe ou l'acquisition de technologies éducatives. L'exonération des frais de scolarité peut exercer une forte pression sur les administrateurs, qui doivent garantir des dépenses raisonnables et rechercher des solutions de financement efficaces auprès de sources extérieures au budget de l'État ou aux organismes sociaux.
Le pays se développe, sa position et son prestige s'améliorent sans cesse. Il est temps pour l'État d'investir davantage dans les infrastructures, le matériel pédagogique et la formation des enseignants afin de répondre aux besoins d'apprentissage, d'améliorer la qualité de l'éducation et de permettre aux élèves d'accéder à des méthodes d'enseignement plus modernes. Outre la gratuité des frais de scolarité, il est nécessaire de mettre en place des politiques d'investissement plus fortes dans les sciences et les technologies de l'éducation, d'investir davantage dans les infrastructures scolaires et de développer des programmes de bourses afin d'offrir aux élèves de meilleures opportunités d'apprentissage, notamment dans les zones reculées, les zones habitées par des minorités ethniques et les zones frontalières insulaires. Encourager les familles aisées, les philanthropes et les mécènes à contribuer bénévolement… plutôt que…nivellement" pour les familles.
Dans la joie de la gratuité des frais de scolarité, l'éducation vietnamienne est censée viser plus haut et plus loin que chaque enfant.chaque jour à l'école est un jour heureuxCela signifie que les élèves n'auront qu'à apporter leur cartable et leur bouteille d'eau pour aller en classe, car le droit à l'éducation est protégé par l'ensemble de la société. Ils étudieront dans un environnement où ils n'auront pas à se soucier du coût de l'éducation ni du manque de conditions d'apprentissage. Une jeune génération, non seulement douée en connaissances, mais aussi forte d'esprit et de moralité, est formée, contribuant ainsi à la construction d'une société durable et prospère.