L'ouverture d'une association d'épargne et de crédit tournante de 100 millions ou plus par période doit être déclarée ?
Le projet de décret modifiant et complétant le décret 144/2006/ND-CP du gouvernement sur le ho, le hui, le bieu et le phuong est en cours de publication pour recueillir l'opinion publique avec de nombreuses réglementations censées limiter les risques liés aux activités déguisées.
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Le ministère de la Justice vient d'annoncer pour commentaires le projet d'amendement au décret 144/2006/ND-CP sur ho, hui, bieu et wards (collectivement appelés ho) qui a été publié par le gouvernement le 27 novembre 2006.
Ce projet prévoit de nombreuses réglementations qui lient les droits des participants à l'association d'épargne et de crédit tournante ainsi que les responsabilités des autorités locales, dans le but de minimiser les cas d'arrachement et de rupture de l'association d'épargne et de crédit tournante qui se sont produits dans la réalité.
Hui - de nombreuses variantes
Selon le ministère de la Justice, le décret 144 a été publié sur la base des dispositions de l'article 479 du Code civil (CL) de 2005, qui reconnaissent les bonnes coutumes, l'amour mutuel et l'affection dans la vie des gens.
Après plus de 12 ans de mise en œuvre, le décret 144 a contribué à construire une base juridique pour assurer la mise en œuvre des droits civils des personnes dans l'établissement et la mise en œuvre des relations concernant les prêts immobiliers en général et à leur sujet en particulier.
Jusqu'à présent, en plus des dispositions du décret 144 du Code civil de 2015, les relations entre proches sont également réglementées indirectement par le Code pénal de 2015 (modifié et complété en 2017, le délit d'abus de confiance pour s'approprier des biens, le délit d'usure), le décret 167/2013/ND-CP (réglementant l'acte de prêter de l'argent avec garantie, mais le taux d'intérêt du prêt dépasse 150 % du taux d'intérêt de base annoncé par la Banque d'État au moment du prêt)...
Le ministère de la Justice reconnaît que la demande de prêts et d'emprunts sous couvert de corruption est de plus en plus diversifiée. Dans certains endroits, la corruption s'est développée à grande échelle, s'est complexifiée et s'est transformée en une forme de mobilisation de capitaux et d'usure.
Dans de nombreux cas, les propriétaires ont abusé de la confiance des participants pour s'approprier des biens. De fait, plusieurs faillites familiales ont entraîné de graves conséquences pour les particuliers et les organisations.
Cette situation est due au fait que le contenu du décret 144 comporte certaines limitations et lacunes telles que les réglementations sur les participants, les formes d'accords familiaux, les livres de famille, les mécanismes de contrôle familial, les taux d'intérêt familiaux, etc., ce qui entraîne des difficultés pour les autorités compétentes en matière d'application de la loi.
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L'accusée Nguyen Thi Thu Nhung a comparu devant le tribunal dans une récente affaire d'effondrement de hui dans la province de Hau Giang. Photo : TTO |
Leur argent à chaque période ne peut pas dépasser 200 millions ?
Au total, le projet de décret modifié comprend également 5 chapitres et 32 articles comme le décret 144.
En termes de contenu, le projet ajoute un certain nombre de dispositions prévoyant un certain niveau d’intervention de l’État dans les principes d’organisation des clans, les propriétaires des clans et le rôle du gouvernement pour assurer des relations claniques saines et éviter les abus et les distorsions.
Plus précisément, l’article 6, clause 2, du projet prévoit deux options pour réglementer les conditions du propriétaire :
1) « Une personne est propriétaire d'une ou de plusieurs lignées familiales en même temps si la valeur totale des parts familiales lors d'une période d'ouverture familiale des lignées familiales ne dépasse pas 200 millions de VND, sauf en cas de consentement de tous les membres des lignées familiales ».
Cette solution vise à limiter les situations où un propriétaire familial possède simultanément une ou plusieurs lignées familiales de grande valeur, ce qui peut engendrer un risque d'arrachage ou de rupture de la famille.
2) « Une personne ne peut être chef de plus de deux lignées familiales à la fois, sauf avec le consentement de tous les membres de ces lignées. »
Ce régime vise à limiter le droit d'une personne à être propriétaire professionnel, dont le revenu principal provient de la propriété de l'entreprise familiale, ce qui donne lieu à de nombreuses variations.
De plus, afin de limiter les risques, l'article 8 du projet prévoit également que la lignée familiale doit être convenue par écrit entre les membres. Si le montant total pour l'ouverture d'une lignée familiale est de 100 millions ou plus, l'accord relatif à la lignée familiale doit être notarié et certifié.
En particulier, les articles 15 et 18 du projet prévoient un plan visant à réglementer que pour les clans dont le montant total d'argent pour une période d'ouverture de clan est de 100 millions de VND ou plus, les participants ont le droit et les propriétaires de clan ont l'obligation d'informer le Comité populaire de la commune où ils résident.
Les comités populaires des communes doivent compiler des informations.
Dans le même temps, l'article 32 du projet stipule que le Comité populaire au niveau de la commune doit être chargé de compiler des informations sur les propriétaires des clans et des lignées claniques d'une valeur de 100 millions de VND ou plus par période d'ouverture.
Ce règlement vise à aider les autorités compétentes à surveiller et à comprendre l'évolution des relations entre clans, à prendre des mesures opportunes pour traiter les propriétaires de clans professionnels et à limiter les ruptures de clans qui provoquent des troubles dans la localité.