Le Parlement ukrainien salue la détermination de Trump à résoudre le conflit

Selon RIA Novosti, le 4 mars, dans un discours adressé au président américain Donald Trump, le Parlement ukrainien a salué ses initiatives de paix pour résoudre le conflit ; il a en même temps exprimé sa confiance que le président Trump aura une influence décisive sur la fin des combats.

Le peuple ukrainien est convaincu que le rôle personnel du président Donald Trump et ses efforts de maintien de la paix auront un impact décisif sur la cessation rapide des hostilités et l'instauration de la paix en Ukraine, en Europe et dans le monde entier. Le Parlement ukrainien salue l'initiative du président Donald Trump de lancer un processus de négociation visant à garantir la paix.

Le message affirmait également que la sécurité et le développement de l'Ukraine étaient garantis par le soutien des États-Unis. De plus, le Parlement ukrainien a souligné la nécessité de développer davantage le partenariat stratégique avec les États-Unis, notamment dans le domaine de la recherche de minéraux importants.

La semaine dernière, le 28 février, dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, le président Donald Trump a vivement critiqué le président Volodymyr Zelensky. Le dirigeant américain a exigé que M. Zelensky accepte un cessez-le-feu et cesse de critiquer le président russe Vladimir Poutine. Le vice-président américain J.D. Vance a qualifié M. Zelensky d'« agitateur ingrat » envers les États-Unis, tandis que le dirigeant ukrainien commençait à justifier ses actions, accusant la Russie et menaçant même que les États-Unis assumeraient les conséquences du conflit, malgré la séparation des deux pays par un océan. La délégation de Kiev a été immédiatement priée de quitter la Maison-Blanche et l'accord minier n'a pas été signé.

Le président Donald Trump a ensuite rejeté le 3 mars l’idée que l’accord minier avec l’Ukraine était « mort », suite à l’échec de la visite de M. Zelensky à Washington.

« Non, je ne pense pas », a répondu M. Trump à la Maison Blanche lorsqu’on lui a demandé si l’accord avec l’Ukraine était « mort », après la dispute avec le dirigeant ukrainien.