Tran Thanh s'exprime lorsqu'il est accusé d'avoir consommé des stimulants
Le MC Tran Thanh était très contrarié lorsque deux filles ont répandu des rumeurs sur l'utilisation de stimulants avec un groupe d'amis, provoquant une certaine agitation.
Cette jeune fille a alors envoyé une photo de l'acteur A.Đ agissant comme s'il consommait des stimulants, et s'est vantée d'appartenir au même groupe que Tran Thanh, A.Đ et HQH. Immédiatement après, une capture d'écran du message texte échangé entre cette jeune fille et son amie s'est rapidement répandue sur les réseaux sociaux, provoquant un tollé au sein de la communauté en ligne.
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Tran Thanh a réagi avec force lorsqu'il a été accusé d'avoir consommé des stimulants. |
Face à ces informations, le MC Tran Thanh a vivement réagi sur sa page personnelle. Il a affirmé que les messages susmentionnés étaient inventés et mensongers, visant à diffamer son honneur.
« J'étais vraiment en colère en lisant les messages de quelqu'un qui publiait de faux messages pour diffamer mon honneur. Je vis ma vie selon ma conscience. Et je crois que mon public comprend aussi quel genre de personne est Tran Thanh », s'est indigné Tran Thanh.
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Tran Thanh continue d'exprimer son attitude face aux calomnies. Il a affirmé qu'il retrouverait l'identité de l'auteur des images et messages susmentionnés.
Tran Thanh a écrit : « Cette société a encore des lois. Je vais à tout prix signaler cette infraction à la police et demander à mon avocat de venir vous rencontrer à votre domicile. Et je vous le garantis. Vous en paierez le prix fort. Ce n'est pas pour rien que vous pouvez diffamer l'honneur de qui que ce soit sans preuve. Je veux que de tels individus soient sévèrement punis par la loi. Je vous le promets, mon ami, je le ferai. »
Seulement 10 heures après sa publication, l’article a reçu plus de 200 000 interactions, plus de 11 000 commentaires et des milliers de partages.
Consciente que l'affaire dégénère, la jeune fille a publié un article sur les réseaux sociaux pour clarifier les messages et les images qu'elle avait partagés. Selon elle, le contenu du message n'était qu'une plaisanterie entre elle et sa sœur. De plus, l'image de l'acteur Anh Duc a été reprise sur les réseaux sociaux et partagée par elle. Cependant, elle ne s'attendait pas à ce que cette image continue d'être largement diffusée par les internautes, provoquant ainsi l'incident. La jeune fille a donc verrouillé son compte personnel.
Contenu cité
L'article 16, clause 3, de la loi de 2018 sur la cybersécurité stipule la prévention et le traitement des informations sur le cyberespace contenant des contenus humiliants et diffamatoires, notamment : a) Insultant gravement l'honneur, la réputation et la dignité d'autrui ; b) Informations fabriquées ou fausses qui portent atteinte à l'honneur, à la réputation et à la dignité ou causent des dommages aux droits et intérêts légitimes d'autres agences, organisations et individus.
Point c Clause 2 Article 12 de la Loi sur les technologies de l'information de 2006 interdit formellement de déformer, de diffamer et d'insulter la réputation des organisations, l'honneur, la dignité et la réputation des citoyens. La personne lésée a le droit de demander réparation du préjudice causé par l'atteinte à l'honneur, à la dignité et à la réputation, conformément à l'article 592 du Code civil de 2015.
Conformément au point a, clause 1, article 101 du décret gouvernemental n° 15/2020/ND-CP du 3 février 2020 prévoyant des sanctions administratives pour les infractions dans les domaines des postes, des télécommunications, des radiofréquences, des technologies de l'information et des transactions électroniques, en vigueur à compter du 15 avril 2020 : amendes de 10 000 000 à 20 000 000 VND pour les actes consistant à utiliser les réseaux sociaux pour fournir, partager de fausses informations, des informations déformées, diffamer ou insulter la réputation d'agences, d'organisations, l'honneur et la dignité des personnes. De plus, forcer la suppression d'informations fausses ou trompeuses ou d'informations contraires à la loi en raison de violations conformément à la clause 3 du présent article.
En outre, selon la nature et la gravité de la violation, s’il existe des éléments suffisants pour constituer un crime, celle-ci sera poursuivie sous un ou plusieurs crimes différents tels que prévus dans le Code pénal.
Plus précisément : Si la dignité et l'honneur d'une autre personne sont gravement insultés, cela peut constituer le délit d'insulte à une autre personne tel que prévu à l'article 155 du Code pénal de 2015, avec une peine maximale de 5 ans de prison ; ou quiconque fabrique ou diffuse des choses dont on sait clairement qu'elles sont fausses afin d'insulter gravement la dignité et l'honneur ou de porter atteinte aux droits et aux intérêts légitimes d'une autre personne peut être poursuivi pour le délit de diffamation tel que prévu à l'article 156 du Code pénal de 2015, avec une peine maximale de 7 ans de prison.