Note de suicide d'une jeune fille chinoise qui s'est suicidée à cause de la pression du travail scolaire

Les parents qui veulent que leurs enfants étudient mieux que les autres leur mettent souvent la pression, les forçant à étudier jour et nuit, ne leur laissant aucun temps pour se reposer et jouer.

À l'âge scolaire, leur immaturité et leur faiblesse de cœur mènent souvent à la tragédie. Tel fut le cas déchirant survenu le 3 août dans le district de Chongchuan, ville de Nantong, province du Jiangsu, en Chine.

Selon le journal Dong Phuong, tôt le matin du 3 août, les habitants de la nouvelle résidence Dich Gia Kieu ont découvert une petite fille gisant dans une mare de sang à côté d'une voiture garée la nuit en contrebas de l'immeuble de cinq étages. Les empreintes de mains de l'enfant étaient visibles sur le toit. Les habitants ont expliqué que la fillette était tombée de la lucarne d'un appartement du cinquième étage. Plus précisément, elle s'était jetée dans le vide, s'était coincée dans la voiture et s'était effondrée, se cognant la tête contre le sol. Elle est morte sur le coup.

Ceux qui connaissent l'histoire racontent que ses parents travaillaient dans le commerce des plantes médicinales et étaient très stricts avec leurs enfants dans leurs études. Pendant les vacances d'été, ils leur donnaient également beaucoup de devoirs à faire et ne les laissaient ni se reposer ni jouer. Incapable de supporter la pression, elle chercha la mort pour se libérer.

Après cela, une photo est apparue en ligne, présentée comme une lettre de suicide laissée par la fillette de 12 ans, ce qui a suscité l'émotion et la réflexion de tous. La lettre disait : « Je déteste mes parents. Je veux me suicider, ne me sauvez pas. Je fais mes devoirs, je fais mes devoirs tous les jours. Je suis morte, ce n'est pas grave, j'ai encore un petit frère pour reprendre l'entreprise familiale. Je n'ai plus à me battre avec mes devoirs. Prends bien soin de mon petit frère, traite-le comme un enfant. Déchire tous mes devoirs… » Au-dessus de la lettre, quelques lignes supplémentaires étaient écrites : « Quand tu verras cette lettre, j'aurai sauté par la fenêtre. »

Jusqu'à présent, il n'y a eu aucune confirmation ou démenti officiel de la part du gouvernement ou de la famille de la victime.

Selon Vietnamnet.vn