


Chaque année, au début du printemps, de nombreux Vietnamiens se rendent aux pagodes pour prier pour la bonne fortune et la bonne fortune pour la nouvelle année. Photo : Thanh Cuong
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Ainsi, de nombreuses offrandes, dont du papier votif, étaient offertes en signe de respect. Ces papiers étaient de types et de formes variés, allant des effigies humaines aux demeures, en passant par les voitures, les objets ménagers, les « chevaux », les « éléphants »… plus grands que les vraies personnes. Photo : Thanh Cuong |
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Selon les souhaits du croyant, les offrandes seront plus ou moins importantes. De nombreuses familles dépensent même entre quelques millions et des dizaines de millions de dongs pour acheter des offrandes destinées à brûler des papiers votifs. Photo : Thanh Cuong |
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Après la cérémonie, le papier votif est brûlé. Les gens croient qu'en brûlant du papier votif (maisons, voitures, argent, or, et même téléviseurs, téléphones…), leurs ancêtres le recevront et l'utiliseront dans l'au-delà. Photo : Thanh Cuong |
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Une femme brûle du papier votif au temple Hong Son (Vinh City). Photo de : Thanh Cuong |
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Transformé en « cheval » au temple Ong Hoang Muoi (Hung Nguyen). Photo de : Thanh Cuong |



Brûler du papier votif est considéré comme une pratique spirituelle permettant d'exprimer le souhait de se connecter aux ancêtres et aux défunts. Photo : Thanh Cuong |
Le Comité central de la Sangha bouddhiste du Vietnam vient de publier une dépêche officielle demandant aux bouddhistes d'abandonner la coutume de brûler des papiers votifs dans les lieux de culte bouddhistes. Selon cette dépêche, brûler des papiers votifs dans les lieux de culte bouddhistes et toute autre forme de brûlage est contraire aux coutumes, à la culture nationale et à la culture bouddhiste vietnamiennes. Photo : Thanh Cuong |