(Baonghean.vn) - Lorsqu'on parle de femmes, beaucoup pensent immédiatement aux femmes et aux filles « faibles ». Pourtant, beaucoup d'entre elles, pour gagner leur vie, exercent des métiers pénibles, généralement réservés aux hommes forts, comme porteurs, ouvriers du bâtiment, concierges, travailleurs indépendants sur les marchés aux puces… Pour ce travail, il suffit d'être en bonne santé, de ne pas être malade, et de disposer d'un revenu stable.
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À Nghe An, il est facile de voir des images de femmes travaillant dur pour gagner leur vie. Les métiers pénibles, comme ouvrières du bâtiment, transporter des briques ou de lourdes charges, sont souvent considérés comme réservés aux hommes. Pourtant, ils constituent le gagne-pain de milliers de femmes. |
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Pour subvenir à leurs besoins et assurer leur vie de famille, de nombreuses femmes fragiles acceptent de travailler dur. Pour elles, être en bonne santé, ne pas être malade et avoir un revenu stable leur suffit. |
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Mme Nguyen Thi Hoa (district de Hung Nguyen), ferrailleurs, ne craint ni le soleil, ni la pluie, ni les difficultés : « Je ne prends que les restes ou les déchets des autres. Si j'ai de la chance et que je trouve beaucoup de ferraille, je peux gagner environ 150 000 VND par jour. » Elle craint seulement de tomber malade et de ne pas pouvoir gagner suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de ses enfants. |
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Mme Ho Thi Hong (district de Nam Dan) travaille comme ouvrière dans le bâtiment depuis de nombreuses années. Ses mains sont calleuses à force de transporter des tonnes de matériaux de construction chaque jour. |
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Dans la région centrale, sous la chaleur du soleil, sur les chantiers de construction, des mères travaillent encore dur, le bâton à la main, pour apporter le bonheur à leurs familles. Mme Dang Thi Binh (commune de Hung Hoa, ville de Vinh) est ouvrière du bâtiment depuis 20 ans. Auparavant, elle travaillait comme ouvrière pour élever ses enfants ; aujourd'hui, elle continue à travailler pour aider ses enfants et petits-enfants. |
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La pluie rendait la route glissante. Mme Tran Thi Luu (district de Nghi Loc) attendait patiemment que les clients achètent des légumes. De par sa famille pauvre, elle n'avait pas le droit de choisir son travail ni ses horaires, qu'il pleuve ou qu'il fasse beau, de jour comme de nuit. |
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Les hommes partent en mer, le travail lourd du transport de la logistique de pêche appartient aux femmes dans les zones côtières de Quynh Luu, Dien Chau, Hoang Mai. |
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Pour les femmes des montagnes et des zones rurales, tous les lourds travaux agricoles reposent sur leurs épaules. Mères et sœurs s'accrochent aux champs et aux fermes pour nourrir et vêtir leurs enfants. La sueur, les larmes et les soucis pèsent sur leurs maigres épaules. |
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Une petite pause pour les femmes qui travaillent comme porteuses, à côté d'elles des paniers de fleurs à vendre, en préparation du 20 octobre en ville. |
Thanh Cuong - Thanh Son