Les alliés des États-Unis bloquent l'attaque d'Obama contre la Russie
Malgré l'appel de Washington, la Grande-Bretagne et la France ont décidé de reporter l'examen au Conseil de sécurité des Nations Unies de l'imposition de sanctions à la Syrie, selon Foreign Policy.
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Les alliés des États-Unis bloquent l’attaque d’Obama contre la Russie. |
Depuis décembre, l'administration Obama demande au Conseil de sécurité de l'ONU de traduire en justice le président syrien Bachar el-Assad et ses partisans au plus vite, écrit l'auteur. Une telle démarche était nécessaire pour défier la Russie, qui avait précédemment qualifié le texte de la résolution d'inacceptable et était certaine d'y opposer son veto.
Cependant, les États-Unis ont été largement rejetés par d'autres pays. Le Royaume-Uni et la France, qui les ont traditionnellement soutenus, ont également manifesté une hésitation soudaine. Il est possible que le Royaume-Uni et la France ne prennent aucune mesure pour demander des comptes au gouvernement syrien, en attendant l'arrivée au pouvoir de Trump.
Bien que le président élu ait exprimé sa volonté de coopérer avec la Russie sur la Syrie, il est peu probable qu'il cherche un conflit avec Moscou. Cela signifie que les efforts internationaux visant à « punir Assad » sont probablement voués à l'échec, conclut l'auteur.
Selon Spoutnik