Les gens sont impuissants à convertir des terrains de jardin en terrains résidentiels, le ministère des Finances a proposé une solution pour surmonter les difficultés.
Face à la situation où de nombreuses personnes sont impuissantes à convertir des terrains de jardin en terrains résidentiels en raison du paiement de milliards de dongs, le ministère des Finances a proposé une solution pour surmonter la difficulté en réduisant les frais d'utilisation des terres de 50 %.
Les gens ont des difficultés parce que les impôts sont trop élevés
À Nghe An et Ba Vi (Hanoï), de nombreuses personnes ont rencontré de sérieuses difficultés lors de la conversion de terrains de jardin en terrains résidentiels. À Vinh, M. Tran Duy Dong et son épouse, Mme Nguyen Thi Hong, ont dû débourser près de 4,5 milliards de dôngs pour convertir 300 mètres carrés de terrain de jardin en terrain résidentiel.
De même, un habitant de la commune de Ba Vi a achevé la procédure de conversion de plus de 210 mètres carrés de terres pérennes en terres résidentielles, mais n'a pas pu payer les frais d'utilisation du sol, ce qui a obligé le gouvernement à révoquer et à annuler la décision autorisant la conversion.
Mme Nguyen Thi Thoa, directrice adjointe du Département de la gestion des biens publics (ministère des Finances), a déclaré que la loi foncière de 2024 a supprimé le cadre de tarification foncière et a chargé les localités d'établir des barèmes de prix fonciers afin de se rapprocher des prix du marché. Cela a entraîné une augmentation des barèmes de prix fonciers, tandis que les obligations financières sont toujours calculées en fonction des prix qui y figurent.
« Le ministère a anticipé la possibilité que les prix des terrains augmentent, alors que les obligations financières sont toujours calculées en fonction des prix indiqués dans la liste des prix des terrains », a expliqué Mme Thoa.

Proposition de réduction de 50 % des frais d'utilisation du sol
Pour remédier à cette situation, le ministère des Finances sollicite des commentaires sur le projet de décret modifiant et complétant le décret n° 103/2024. Le ministère propose notamment d'ajouter des dispositions réglementaires relatives au traitement des cas transitoires.
Plus précisément, pour les ménages et les particuliers qui changent d'affectation des terres, passant de terres agricoles sur la même parcelle de terrain avec une maison à des terres résidentielles, les frais d'utilisation des terres seront perçus à 50 % de la différence entre les frais d'utilisation des terres basés sur les prix des terrains résidentiels et les prix des terrains agricoles.
Ce règlement s'applique aux cas où les terrains de jardin et les étangs situés sur le même terrain qu'une maison n'étaient auparavant pas reconnus comme terrains résidentiels mais souhaitent désormais être transformés en terrains résidentiels.
Mme Thoa a indiqué que le ministère des Finances avait adressé aux localités un document leur demandant des rapports et des évaluations sur la perception des redevances foncières pour les particuliers et les ménages. Après avoir synthétisé ce rapport, le ministère procédera à une évaluation complète et collaborera avec le ministère de l'Agriculture et de l'Environnement pour examiner et proposer des modifications aux dispositions de la loi.
« Nous sommes en train de finaliser le projet de décret pour recueillir les commentaires du ministère de la Justice », a informé Mme Thoa à propos de l'avancement de la mise en œuvre.
Cette proposition devrait contribuer à réduire la charge financière pesant sur les personnes lors des procédures de conversion des terres, tout en créant des conditions favorables pour que les familles puissent mener à bien les procédures juridiques relatives aux terres.RéessayerNON