Réglementation sur les terres agricoles utilisées par les organisations et les personnes d'origine vietnamienne résidant à l'étranger
Comment la loi foncière de 2024 réglemente-t-elle les terres agricoles utilisées par les organisations, les Vietnamiens résidant à l'étranger et les organisations économiques bénéficiant de capitaux étrangers ? M. Nguyen Van Tai, de la ville de Vinh, a demandé.
Répondre:
Les terres agricoles utilisées par les organisations, les personnes d'origine vietnamienne résidant à l'étranger et les organisations économiques avec des capitaux d'investissement étrangers sont réglementées par l'article 180 de la loi foncière de 2024 comme suit :
1. Les organisations économiques, les personnes d'origine vietnamienne résidant à l'étranger et les organisations économiques disposant de capitaux d'investissement étrangers qui ont besoin d'utiliser des terres pour la production agricole, la foresterie, l'aquaculture et la production de sel seront considérées par l'État pour la location de terres afin de réaliser des projets d'investissement.

2. Les organismes économiques et les services publics auxquels l'État a attribué ou loué des terres avant l'entrée en vigueur de la présente loi à des fins de production agricole, forestière, aquacole et salicole, à l'exception des cas prévus à l'article 181 de la présente loi, doivent examiner l'état actuel de l'utilisation des terres et élaborer un plan d'occupation des sols. Ce plan doit définir clairement la superficie, les limites d'utilisation, la superficie de chaque type de terrain conservé, la durée d'utilisation et la superficie des terres cédées à la localité.
3. Le Comité populaire au niveau provincial est chargé de diriger l'examen et l'approbation des plans d'utilisation des terres ; d'allouer et de louer les terres conformément aux plans d'utilisation des terres approuvés ; de récupérer les terres inutilisées, les terres utilisées à des fins inappropriées, les terres illégalement contractées, louées, prêtées, empiétées ou occupées pour les allouer et les louer à des organisations et à des particuliers.
L’attribution et la location des terres doivent donner la priorité aux personnes appartenant à des minorités ethniques qui ne possèdent pas de terres ou qui manquent de terres de production dans la localité.