Réchauffe le cœur gelé !
Pour elle, l'amour est quelque chose de très fragile et facilement brisé. Elle n'a jamais cru en l'amour, car son enfance s'est déroulée sans l'amour d'un père.
La cicatrice du mariage brisé de ses parents a instillé la froideur chez Hang depuis l'âge de 10 ans.
Quiconque rencontre Hang est émerveillé par les yeux noirs, clairs et brillants de cette montagnarde. Son joli visage et son sourire éclatant, tel le soleil, captivent au premier regard. Mais il semble que la cicatrice du mariage insatisfait de ses parents ait instillé en elle une certaine froideur depuis l'âge de 10 ans. Plus Hang aime sa mère, plus elle déteste son père cruel et ingrat. Dès le moment où il a assisté à la séparation de ses parents après une violente dispute dans l'immeuble ce jour-là, son père est parti et n'est jamais revenu auprès de Hang et de sa mère.
Hang était l'une des meilleures élèves de sa classe. Ses professeurs et ses camarades l'avaient souvent choisie pour être surveillante et surveillante adjointe, mais Hang refusait toujours d'un signe de tête. De plus, au lycée puis à l'université, de nombreux garçons l'avaient remarquée et lui avaient avoué leur amour, mais Hang ne disait rien ni ne s'expliquait, se contentant de secouer la tête d'un air perplexe.
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La chaleur de sa main transmettait à son cœur la douceur de l’amour. |
Mais lorsqu'elle le rencontra, le cœur de la jeune fille d'une vingtaine d'années se mit à battre étrangement. Il s'approcha de Hang comme une douce brise, l'aidant à se réveiller, réchauffant peu à peu son cœur glacé. Il s'enquit de son travail quotidien, lui offrit un stylo étrangement beau et amusant, l'invita à prendre son petit-déjeuner et un café tous les après-midi après le travail. Il n'oublia pas de lui rappeler que le temps changeait, de porter une écharpe chaude pour aller travailler, de boire beaucoup d'eau quand il faisait chaud, de se tenir chaud les pieds quand il faisait froid et, en cas de forte pluie, de marcher lentement pour éviter les routes glissantes… Ses sentiments se répandirent, réchauffant peu à peu le cœur de Hang.
Un jour, sans le voir, Hang ressentit soudain un pincement au cœur. Elle l'appela, mais son téléphone était injoignable. Pour la première fois, il lui manquait et elle se sentit mal à l'aise de ne pas recevoir de réponse. Deux jours plus tard, sa voix était faible, il venait d'avoir un accident et s'était évanoui en allant au travail, et maintenant il allait bien. Son cœur se serra légèrement. Ses larmes coulèrent, et Hang se précipita à l'hôpital pour le retrouver. Ses bras, ses jambes et sa tête étaient enveloppés de bandages blancs. Il souriait toujours doucement, essayant de lui caresser les cheveux de sa main restante, tandis que les larmes coulaient sur ses joues : « Je vais bien, te voir m'a immédiatement soulagé. »
Hang savait qu'elle l'aimait. Sa main serrait fermement sa petite main maigre, pleine de sentiments sincères. La chaleur de sa main transmettait la douceur de l'amour à son cœur. C'était poétique, chaleureux, et non froid comme elle l'avait cru.
Selon PNVN