Un élève de 10e année regarde des films pour adultes et viole des enfants
(Baonghean.vn) - Après avoir utilisé son téléphone pour regarder des films sexuels sur les réseaux sociaux, T a perdu le contrôle de lui-même et a violé une enfant dans le noir.
Dans l'après-midi du 23 janvier, le tribunal populaire de la province de Nghe An a ouvert un procès pénal, le procès de première instance de l'affaire de viol d'enfant contre N..TT (résidant dans le district de Do Luong).
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Procès du défendeur T. |
D'après les archives, en septembre 2017, T. était en seconde. Au lieu d'étudier, il regardait des films pornographiques sur son téléphone. Le 9 juillet 2017, vers 21 heures, Tien s'est introduit dans la chambre louée par Mme H. (commune de Dong Son, district de Do Luong) et a violé Ng.DBĐ (la fille de Mme H.). Alors que D. souffrait, elle s'est penchée vers la droite et Tien a vu du sang couler de son vagin, ce qui l'a contraint à cesser les rapports sexuels.
Par la suite, T. s'est rendu à la police du district de Do Luong et a avoué son crime. Au moment des faits, T. n'avait que 5 ans, 3 mois et 5 jours. T. a été détenu du 25 juillet 2017 au 3 août 2017, puis libéré sous caution.
Lors du procès, T. a avoué honnêtement, exprimé des remords et demandé une réduction de peine.
Le jury a estimé que le comportement criminel du prévenu était particulièrement grave, portant atteinte à l'honneur, à la dignité et à la santé de D. alors qu'il avait à peine plus de 5 ans, un enfant bénéficiant d'une protection spéciale. Son comportement a semé le trouble dans la société, suscité l'indignation populaire et porté atteinte à la santé des enfants. Une peine sévère était donc nécessaire pour garantir la gravité et la dissuasion générale.
Le jury a également conclu que l'accusé avait commis le crime sans circonstances aggravantes. L'accusé T. s'est rendu, a avoué honnêtement et sincèrement les faits et a intégralement indemnisé la victime. Le représentant légal de la victime a déposé une demande de clémence en sa faveur. Or, l'accusé T. était âgé de moins de 18 ans au moment des faits, ses connaissances juridiques étaient donc limitées. Il a commis le crime de manière impulsive, en regardant des vidéos pornographiques sur les réseaux sociaux, et, incapable de contrôler ses désirs sexuels, il a commis le viol.
L'accusé T. a également pris l'initiative d'interrompre les rapports sexuels lorsqu'il a constaté que D. était blessée. Au moment des faits, il était en seconde et son établissement scolaire le considérait comme ayant une bonne moralité. Ces circonstances atténuantes sont applicables à l'accusé T.
Conformément au Code pénal de 1999, au Code pénal de 2015 modifié et complété en 2017, le Tribunal populaire a condamné le défendeur T. à 6 ans de prison.