Droits et obligations des organisations lorsque l'État attribue des terres avec perception de paiement, loue des terres avec paiement de paiement en 2024
La loi foncière de 2024 stipule les droits et obligations des organisations nationales auxquelles l'État attribue des terres avec des frais d'utilisation des terres perçus, des terres louées avec un loyer foncier unique perçu pendant toute la durée du bail, mais qui sont exonérées ou bénéficient de frais d'utilisation des terres et d'un loyer foncier réduits.
C'est la préoccupation de M. Dang Thanh Cong (Do Luong, Nghe An).
Répondre:Cette question est réglementée par l'article 33 de la loi foncière de 2024. Plus précisément, l'article 33, clause 3, mentionne les droits et obligations des organisations nationales auxquelles l'État attribue des terres moyennant la perception de redevances foncières, des terres louées moyennant un loyer foncier unique perçu pendant toute la durée du bail, mais qui sont exonérées ou bénéficient de redevances foncières et de loyers fonciers réduits, notamment :
- Dans le cas où l'État attribue des terrains pour la réalisation de projets d'investissement visant à construire des logements sociaux, des logements pour les forces armées populaires, des projets d'investissement visant à rénover et à reconstruire des immeubles d'habitation et est exonéré ou réduit des taxes foncières, les droits et obligations sont les mêmes que dans les cas où les taxes foncières ne sont pas exonérées ou réduites ;
- Les organisations nationales qui se voient attribuer des terres par l'État avec des droits d'utilisation des terres perçus, ou qui louent des terres avec un loyer foncier unique perçu pendant toute la durée du bail pour mettre en œuvre des projets d'investissement à des fins commerciales et qui sont exonérées ou réduites des droits d'utilisation des terres ou du loyer foncier ont les mêmes droits et obligations que celles qui ne sont pas exonérées ou réduites des droits d'utilisation des terres ou du loyer foncier ;
En cas de transfert ou d'apport en capital utilisant des droits d'utilisation du sol, l'État doit payer une somme d'argent équivalente au montant des droits d'utilisation du sol et du loyer foncier qui a été exonéré ou réduit au moment de l'attribution du sol, du bail du sol ou de l'autorisation de changer l'usage du sol, sauf dans les cas où les lois pertinentes en disposent autrement.