Choses à faire !

September 25, 2016 12:31

(Baonghean) - Autrefois, les frères et amis qui vivaient ensemble dans le quartier des travailleurs de la station piscicole étaient extrêmement proches les uns des autres. Plusieurs raisons expliquaient cette proximité, notamment le fait que nous étions tous pris en charge ensemble à l'école maternelle du quartier. On l'appelait « école maternelle », mais là-bas, nous étions pris en charge et éduqués par les enseignants depuis notre plus jeune âge jusqu'à notre entrée à l'école primaire. On pouvait donc considérer cette école comme une école maternelle et un jardin d'enfants.

À cette époque, ma mère travaillait comme ouvrière à l'écloserie et était extrêmement travailleuse, mais elle était très dévouée et dévouée à son travail, tout comme tout le monde à l'écloserie. En envoyant leurs enfants à la nurserie, chacun pouvait partir tôt, revenir à midi ou le soir, à n'importe quelle heure, car si personne n'était encore venu chercher les enfants, les tantes et les nounous qui s'en occupaient ne seraient pas encore rentrées. Elles avaient la responsabilité de s'occuper des enfants de leurs collègues de l'écloserie, et elles comprenaient que c'était aussi une responsabilité partagée…

En grandissant, la période des subventions est également révolue. Lorsque la forme d'« entreprise collective » n'a plus été adaptée, les jardins d'enfants des organismes collectifs ont également disparu. Bien que regrettables, chaque fois que nous repensons aux jardins d'enfants collectifs d'autrefois, chaque membre de notre famille ne peut s'empêcher de les regretter, car ils constituaient un lieu de partage des difficultés lors des périodes difficiles et de privation.

Récemment, la province a connu de nombreuses innovations en matière de politiques et de réformes administratives, stimulé les investissements et ouvert de nombreux établissements industriels et usines employant des centaines, voire des milliers de travailleurs. La plupart sont des femmes et beaucoup ont de jeunes enfants. La création de crèches et de jardins d'enfants dans les zones industrielles et les usines est devenue urgente. Je suis ravi que le Comité populaire provincial ait pris cette question en compte et qu'elle ait été confiée au secteur de l'éducation pour examen et résolution. Bien que plus personne dans ma famille ne travaille dans les parcs industriels, cette nouvelle a réjoui tout le monde. Il s'agit non seulement d'une solution aux problèmes de la vie quotidienne, mais aussi d'une action politique en faveur de la classe ouvrière et des ouvriers. Quelle joie !

Chi Linh Son

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