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Chez les Hômông de Nghe An, lorsqu'ils ont leur premier petit-enfant, selon la situation familiale, les grands-parents maternels doivent le ramener chez eux pour organiser une cérémonie de prière porte-bonheur. Photo : Dao Tho |
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Si la situation financière de la famille est précaire, on peut attendre d'organiser une cérémonie pour plusieurs petits-enfants à la fois. Les offrandes préparées doivent également correspondre au nombre de petits-enfants. Sur la photo : les Mong organisent une cérémonie pour prier pour la chance de deux petits-enfants, avec des offrandes de deux poulets et de deux bâtons d'encens. Photo : Dao Tho |
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Le chaman est invité à célébrer une cérémonie et à déposer des offrandes devant l'entrée pour accueillir les ancêtres et les dieux dans la maison et bénir l'enfant. Photo : Dao Tho |
Extrait de la cérémonie de prière porte-bonheur du peuple Mong pour ses petits-enfants.
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Le cochon était abattu pour inviter la famille et les villageois. Une partie de la viande était laissée au gendre pour qu'il la rapporte à sa famille afin d'annoncer à ses parents que les grands-parents avaient terminé l'organisation de la cérémonie pour l'enfant. Photo : Dao Tho |
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Grand-mère est chargée de cuisiner et de s'occuper des repas pendant toute la cérémonie. Photo : Dao Tho |
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À la table du banquet, chaque tournée de vin doit être approuvée par le gendre, en signe de respect pour le père de l'enfant. Photo : Dao Tho |
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Deux cuisses de poulet, deux œufs et une ficelle blanche nouée à la main ont également été préparés pour que chacun puisse souhaiter bonne chance au bébé. Photo : Dao Tho |
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À la fin de la cérémonie, l'enfant est attaché au poignet avec un fil. Alors que les Thaïlandais utilisent un fil noir, les Hômông croient que le fil blanc symbolise la pureté de l'âme et porte bonheur. Photo : Dao Tho |