Règlement sur l'installation des ménages et des particuliers violant la loi foncière avant juillet 2014
M. N.D.H de la ville de Vinh a demandé : Comment la loi foncière de 2024 réglemente-t-elle le règlement des cas dans lesquels les ménages et les particuliers utilisant des terres violent les lois foncières ?
Article 139,Loi foncière 2024Règlement sur le règlement des cas où les ménages et les particuliers utilisant des terres violent les lois foncières avant le 1er juillet 2014, comme suit :
1. En cas d'utilisation du sol en raison d'un empiètement ou d'une occupation des couloirs de sécurité des travaux publics après que l'État a annoncé et balisé les couloirs de protection ou d'un empiètement ou d'une occupation des routes, des bords de route et des trottoirs après que l'État a annoncé les limites de construction ou d'un empiètement ou d'une occupation du terrain utilisé aux fins de la construction du siège de l'agence, des travaux publics ou d'autres travaux publics, l'État doit récupérer le terrain pour le restituer au projet sans délivrer de certificat de droits d'utilisation du sol et de propriété des actifs attachés au terrain pour la zone du terrain empiété ou occupé.
Dans le cas où l'aménagement du territoire et la planification de la construction ont été ajustés et approuvés par les autorités compétentes, mais que la zone de terrain empiétée ne se trouve plus dans le couloir de sécurité des travaux publics, n'est pas dans les limites de construction de la route et n'est pas destinée à être utilisée comme siège d'agences, de travaux publics et d'autres travaux publics, la personne qui utilise actuellement le terrain sera considérée pour l'octroi d'un certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des actifs attachés au terrain et devra remplir des obligations financières conformément aux dispositions de la loi.

2. En cas d'utilisation du sol due à l'empiètement ou à l'occupation de terres d'origine agricole et forestière qui ont été attribuées par l'État sans percevoir de redevances d'utilisation du sol auprès des sujets au fil du temps, la situation sera traitée comme suit :
a) En cas d'utilisation de terres empiétées ou occupées dans le cadre de la planification forestière pour des forêts à usage spécial et des forêts de protection, le Comité populaire provincial ordonne la récupération des terres empiétées ou occupées et leur remise au Conseil de gestion forestière pour gestion et utilisation. L'utilisateur de ces terres empiétées ou occupées est examiné par le Conseil de gestion forestière pour la protection et le développement des forêts, conformément aux dispositions de la loi forestière. En l'absence de Conseil de gestion forestière, l'utilisateur se voit attribuer des terres par l'État aux fins de protection et de développement des forêts de protection et est considéré pour l'octroi d'un certificat de droits d'utilisation des terres et de propriété des biens attachés à ces terres ;
b) En cas d'utilisation d'une zone de terrain empiétée ou occupée dans le cadre de l'aménagement du territoire aux fins de construction d'ouvrages d'infrastructures publiques, le Comité populaire provincial doit ordonner la récupération des terres empiétées ou occupées pour les remettre à l'investisseur lors de la mise en œuvre de la construction de ces ouvrages.
Les personnes qui utilisent des terres en violation sont autorisées à les utiliser temporairement jusqu'à ce que l'État les récupère, mais doivent maintenir le statut actuel d'utilisation des terres et doivent déclarer et enregistrer les terres conformément à la réglementation ;
c) En cas d'empiètement sur un terrain, d'occupation du terrain et d'utilisation actuelle à des fins de production agricole ou de logement avant le 1er juillet 2014, non soumis à la planification forestière pour les forêts à usage spécial, les forêts de protection, non soumis à la planification de l'utilisation du sol aux fins de construction d'ouvrages d'infrastructure publique, la personne qui utilise actuellement le terrain sera considérée pour l'octroi d'un certificat de droits d'utilisation du sol, la propriété des biens attachés au terrain et devra remplir des obligations financières conformément aux dispositions de la loi.
3. Dans le cas où un ménage ou un particulier utilise un terrain en raison d'un empiètement ou d'une occupation qui ne relève pas des cas spécifiés aux clauses 1 et 2 du présent article et dans le cas d'une utilisation du terrain à des fins autres que celles pour lesquelles l'État a attribué un terrain, loué un terrain ou reconnu des droits d'utilisation du terrain, les mesures suivantes doivent être prises :
a) Si une personne utilise le terrain de manière stable, conformément à la planification de l'utilisation du sol au niveau du district ou à la planification générale ou à la planification du zonage ou à la planification de la construction ou à la planification rurale, elle sera considérée pour la délivrance d'un certificat de droits d'utilisation du sol et de propriété des actifs attachés au terrain et devra remplir des obligations financières conformément aux dispositions de la loi ;
b) Dans les cas non prévus par les dispositions du point a de la présente clause, la personne qui utilise actuellement le terrain peut l'utiliser temporairement jusqu'à ce que l'État récupère le terrain, mais doit maintenir le statut actuel d'utilisation du terrain et doit déclarer et enregistrer le terrain conformément à la réglementation.
4. Les ménages et les particuliers qui utilisent des terres agricoles qu'ils ont récupérées eux-mêmes et qui ne sont pas en litige recevront de l'État un certificat de droits d'utilisation des terres et de propriété des biens attachés à la terre conformément à la limite d'attribution des terres agricoles prescrite par le Comité populaire provincial ; si la limite prescrite par le Comité populaire provincial est dépassée, la superficie excédentaire doit être convertie en bail foncier de l'État.
5. Dans le cas où un ménage ou un particulier utilisant un terrain viole la loi foncière telle que prescrite aux clauses 1 et 2 du présent article à partir du 1er juillet 2014, l'État ne délivrera pas de certificat de droits d'utilisation du terrain et de propriété des biens attachés au terrain et traitera l'affaire conformément aux dispositions de la loi.
6. Le Gouvernement précise le présent article.