À partir d'aujourd'hui, 1er août, les véhicules des entreprises de transport doivent passer à des plaques d'immatriculation jaunes.
Les véhicules des entreprises de transport doivent changer leurs plaques d'immatriculation en jaune ; la police de la circulation n'est pas autorisée à réquisitionner les véhicules... sont des politiques importantes qui entrent en vigueur à partir du mois d'août.
Selon la circulaire du ministère de la Sécurité publique sur les procédures d'immatriculation des véhicules et de révocation des plaques d'immatriculation appliquée à partir du 1er août, tous les camions, voitures particulières, taxis et véhicules contractuels doivent passer aux plaques d'immatriculation jaunes.Que le véhicule soit neuf ou ancien, le conducteur conserve l'ancien numéro d'immatriculation. Il n'a pas besoin d'apporter le véhicule directement ni d'effacer le numéro de châssis ni le numéro de moteur. Il lui suffit d'apporter sa carte grise, sa carte d'identité et sa plaque d'immatriculation. L'échange de plaque d'immatriculation a lieu dans la journée.
Toujours selon cette circulaire, du 1er août au 31 décembre 2021, les personnes et les organisations possédant des voitures et des motos achetées par l'intermédiaire de nombreux propriétaires, sans documents ou sans papiersLe transfert peut également être transféré et changé de propriétaire.
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Plaque d'immatriculation jaune pour les véhicules immatriculés à des fins commerciales à partir du 1er août. Photo : fournie par le service de police de la circulation. |
La police de l'immigration n'est autorisée à déduire que 20 % du montant collecté.
La circulaire 41/2020 du ministère des Finances stipule que le Département de l'Immigration, le ministère de la Sécurité publique, les commandements des gardes-frontières des provinces et des villes sous tutelle centrale ne sont autorisés à déduire que 20 % des frais d'immigration, au lieu de 30 % actuellement. Le solde est versé au budget de l'État.
La partie retenue est utilisée par les unités pour acheter des billets d'avion, des logements, embaucher des interprètes, surveiller les étrangers détenus ; payer les examens médicaux et les traitements lorsque les étrangers sont malades ; escorter les étrangers en séjour illégal ou en infraction avec la loi vers leur pays d'origine ; payer pour compléter les revenus et améliorer le niveau de vie des officiers et des soldats travaillant dans la gestion de l'immigration...