5 autres types de terres, malgré des problèmes, bénéficieront toujours de livres rouges à partir du 3 mars
Conformément au décret 01/2017/ND-CP, les ménages et les particuliers utilisant des terres qui ont violé les lois foncières avant le 1er juillet 2014 et qui se sont installés de manière stable sur cette zone se verront toujours accorder un livre rouge.
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Le décret 01/2017/ND-CP, en vigueur depuis le 3 mars, permet d'étendre l'octroi de certificats de droits d'usage du sol, de droits de propriété du logement et de biens attachés au sol aux 5 cas suivants :
1. Les ménages et les particuliers qui utilisent des terres en violation de la loi foncière avant le 1er juillet 2014 et qui utilisent des terres de manière stable dans les cas suivants.
- Utiliser un terrain pour empiéter et occuper le corridor de sécurité des travaux publics, qui ne fait plus partie du corridor de sécurité des travaux publics, ni de la limite de construction de la route, et qui n'est pas destiné à être utilisé comme siège d'agences, de travaux publics et d'autres travaux publics.
- Utilise actuellement des terres empiétées ou occupées qui font partie de la planification à récupérer par le Comité populaire provincial, mais qui sont envisagées pour une affectation par le Conseil de gestion des forêts, ou qui ont été empiétées ou occupées et sont maintenant utilisées à des fins de production agricole ou de logement et ne font pas partie de la planification de la protection et du développement des forêts.
- Empiéter sur un terrain inutilisé ou modifier arbitrairement l'usage du terrain dans les cas nécessitant une autorisation sans autorisation des autorités compétentes mais ayant eu une maison et une utilisation stable du terrain avant le 15 octobre 1993.
2. Attribution de terres sans autorisation appropriée
Si le demandeur demande un certificat de droits d'utilisation du sol, de droits de propriété d'une maison et d'autres biens attachés au terrain pour un terrain qui a été attribué sans autorisation appropriée avant le 1er juillet 2004, le terrain n'est pas en litige, est conforme à la planification, mais au moment de l'octroi du certificat, il y a ou n'y a pas de maison, le certificat sera considéré pour délivrance et les obligations financières doivent être remplies.
3. Pour une superficie de terrain augmentée par rapport au document sur les droits d'utilisation du sol pour les ménages et les particuliers qui utilisent actuellement le terrain
Le bureau d'enregistrement foncier doit confirmer la demande de réémission ou d'échange de certificats de droit d'utilisation du sol, de droits de propriété de maison et d'autres biens attachés au terrain pour la superficie du terrain augmentée et envoyer les informations cadastrales à l'autorité fiscale, soumettre pour délivrance de certificats, mettre à jour et corriger les registres cadastraux et les bases de données foncières pour toute la superficie du terrain en usage, remettre le certificat au bénéficiaire ou l'envoyer au Comité populaire de la commune pour remise en cas de soumission de la demande au Comité populaire de la commune.
4. Pour les terrains destinés à la construction de zones urbaines, de zones résidentielles rurales et de zones de production et d'affaires ayant de nombreuses utilisations du sol différentes
Si l'immeuble d'habitation est combiné avec un bureau, un service ou un local commercial, si l'investisseur en a le besoin et remplit les conditions, un certificat de droits d'utilisation du sol, de droits de propriété du logement et d'autres biens attachés au terrain sera accordé à un ou plusieurs appartements, bureaux, services ou locaux commerciaux appartenant à l'investisseur.
5. Pour les cas où les droits d'utilisation des terres ont été transférés mais pas encore transférés
En cas d'utilisation de terres appartenant aux groupes suivants : terres cédées ou données avant le 1er janvier 2008, terres cédées ou données du 1er janvier 2008 au 1er juillet 2014 avec des documents de droit d'utilisation des terres ou terres héritées avec un droit d'utilisation des terres avant le 1er juillet 2014. L'organisme récepteur n'est pas autorisé à demander au cessionnaire du droit d'utilisation des terres de soumettre le contrat ou le document de transfert du droit d'utilisation des terres.
Selon VNE